Vietnam or Thailand ? Vote for the TOP Country of the Week !

Mis à jour: 13 juin 2025


[Note 11: «Mlle Ulrike de Pogwisch, soeur de Mme de Goethe. Elle habite toujours Weimar. Les deux enfants, Walter et Wolfgang, sont les petits-fils de Goethe. Aujourd'hui ce sont des hommes faits; mais la gloire littéraire de leur grand-père ne les a point tentés. M. Walter de Goethe est chambellan

Voici quelle était la situation de l'armée prussienne en entrant en campagne: Le corps du général Ruchel, dit de Westphalie, était composé de trente-trois bataillons d'infanterie, de quatre compagnies de chasseurs, de quarante-cinq escadrons de cavalerie, d'un bataillon d'artillerie et de sept batteries, indépendamment des pièces de régiment. Le corps du prince de Hohenlohe était composé de vingt-quatre bataillons prussiens et de vingt-cinq bataillons saxons, de quarante-cinq escadrons prussiens et de trente-six escadrons saxons, de deux bataillons d'artillerie, de huit batteries prussiennes et de huit batteries saxonnes. L'armée commandée par le roi en personne, était composée d'une avant-garde de dix bataillons et de quinze escadrons, commandée par le duc de Weimar, et de trois divisions; la première, commandée par le prince d'Orange, était composée de onze bataillons et de vingt escadrons; la seconde division, commandée par le général Wartensleben, était composée de onze bataillons et de quinze escadrons; la troisième division, commandée par le général Schmettau, était composée de dix bataillons et de quinze escadrons. Le corps de réserve de cette armée, que commandait le général Kalkreuth, était composé de deux divisions, chacune de dix bataillons des régimens de la garde ou d'élite, et de vingt escadrons. La réserve que commandait le prince Eugène de Wurtemberg, était composée de dix-huit bataillons et de vingt escadrons. Ainsi, le total général de l'armée prussienne était de cent soixante bataillons et de deux cent trente-six escadrons, servie par cinquante batteries, ce qui faisait, présens sous les armes, cent quinze mille hommes d'infanterie, trente mille de cavalerie, et huit cents pièces de canon, y compris les canons de bataillons; Toute cette armée se trouvait

J'en reviens au duc de Weimar. Il arriva comme Nicodème dans la nuit, car il ne fit annoncer sa venue que quelques heures auparavant. Le duc de Cobourg se fit annoncer en même temps, ce qui nous fâcha beaucoup, car ce prince devoit hériter de la plus grande partie du pays de Weimar après décès du duc sans enfans mâles. Comme ce prince n'en avoit point, nous crûmes que le duc de Cobourg venoit exprès pour rompre ce mariage. Ils arrivèrent l'un et l'autre le soir. Le Margrave qui n'aimoit ni le monde ni les étrangers, me pria de faire les honneurs de la maison, et ordonna

Nous ne sûmes que long-temps après que Duroc avait été envoyé de Weimar chez le roi de Prusse; il était si discret, que nous ne nous aperçûmes qu'

Préférant la solitude aux nombreux commentaires que j'entendais, je résolus d'aller me distraire en fumant, seul, dans le parc. Je sortis, laissant les toasts s'achever, entre fins connaisseurs. Ah! la belle nuit! Et le parc de Weimar, de nuit! quel enchantement! J'entrai.

«Cependant la France changeait; après les déchirements et les catastrophes sociales, elle accomplissait, littérairement aussi, sa métamorphose. Goethe, qui connut et ne goûta que médiocrement Mme de Staël, ne paraît pas avoir eu une bien haute idée de Chateaubriand, le grand artiste et le premier en date de la génération nouvelle. À cette époque de l'éclat littéraire de Chateaubriand, l'homme de Weimar ne faisait pas grande attention

Combien de musiciens lui ont écrit: «O toiou simplement: «O!» auxquels il a répondu ou répondre: «Je suis bien reconnaissant, monsieur, que vous ayez daigné illustrer un poème qui, sans vous, fût demeuré dans l'obscurité, etcIl était railleur, le dieu de Weimar, si mal nommé pourtant par je ne sais qui, le Voltaire de l'Allemagne.

Liszt m'écrivit bientôt après de Weimar une lettre cordiale comme il sait les écrire: «Elle t'inspira, me disait-il, tu l'as aimée, tu l'as chantée, sa tâche était accomplie

Eckermann n'habitait pas encore Weimar; il ne devint le familier du grand homme que dans les dix dernières années de sa vie. Voici comment il s'attendrit sur son souvenir, quand la mort eut éteint la voix de Goethe: «Je vois enfin devant moi terminé le troisième volume de mes conversations avec Goethe, promis depuis longtemps; j'éprouve la joie que donne le triomphe de grands obstacles. J'étais dans une situation très-difficile. Je ressemblais au marin qui ne peut pas faire route par le vent du jour, et qui est obligé d'attendre, avec la plus grande patience, des semaines et des mois jusqu'

L'incendie du théâtre de Weimar, qui eut lieu le 22 mars 1823, c'était la moitié de la vie de Goethe qui s'écroulait. Il la vit s'écrouler avec douleur, mais avec l'impassibilité apparente d'un dieu qui voit brûler son temple et qui songe

Mot du Jour

trimmel

D'autres à la Recherche