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Suivant l'abbé Lanzi, Lavinia Fontana, au jugement de quelques connaisseurs, surpassa son père Prosporo Fontana dans l'art de faire les portraits. Elle fut surtout recherchée par les dames romaines; et elle avait un talent tout particulier pour représenter leur costume . Elle parvint

Voici quel souvenir mon père avait gardé de la rivalité et du talent de ces deux actrices célèbres: «La liaison de l'empereur avec Mlle George fit quelque bruit. La société, j'en ai moi-même souvenir, était très animée sur cette controverse touchant le mérite respectif des deux tragédiennes. On se disputait vivement après chaque représentation de l'une ou de l'autre. Les connaisseurs, et, en général, les salons, étaient pour Mlle Duchesnois. Elle avait cependant assez peu de talent, et jouait sans intelligence. Mais elle avait de la passion, de la sensibilité, une voix touchante qui faisait pleurer. C'est, je crois, pour elle qu'a été inventée cette expression de théâtre: «Avoir des larmes dans la voixMa mère et ma tante (Mme de Nansouty) étaient fort prononcées pour Mlle Duchesnois, au point de rompre des lances contre mon père lui-même qui était obligé administrativement

Quatorze ans plus tard, un jeune poète de la Bohême allemande, qui se révélera un jour l'un des meilleurs connaisseurs de la vie sud-slave, Siegfried Kapper, prit au sérieux la traduction de Gerhard et s'en inspira.

Plus d'un voyageur vous parlerait de l'esplanade qui est au devant de la principale porte, des fossés profonds, revêtus de pierres, et pleins d'eau vive, dont le château est environné; d'une façade estimée des connaisseurs; enfin d'une fort belle tour carrée qui s'élève au-dessus de deux grands corps de logis, et qu'on assure avoir été construite par les Romains.

Même, elle fut piquée dans sa vanité de cordon-bleu de ne pas recevoir les compliments qu'elle espérait... A quatre ou cinq reprises, impatientée, elle demanda: «N'est-ce donc pas bon, celaet comme on lui répondit tout sèchement: «Très-bon...» elle se jura qu'elle ne prodiguerait plus ses talents pour de si pitoyables connaisseurs...

La redoutable épreuve de l'impression ne leur fut pas favorable, du moins aux yeux des véritables connaisseurs. Tout nus sur le papier blanc, dépouillés de la chaleur artificielle dont les échauffait la voix de baryton de Marius, ils apparurent tels qu'ils étaient en réalité, froids comme cadavres et creux comme radis. Malgré les nombreuses réclames obtenues par l'auteur, qui se multiplia et fit «donner» tous les journalistes nés au del

L'exposition centennale était précisément aux mains de M. Antonin Proust, directeur, secondé, pour le choix et le placement des tableaux, par M. Roger Marx, inspecteur des Beaux-Arts. Tous les deux, comme admirateurs de Manet, allaient placer ses oeuvres en vue, dans le salon principal. C'était un redoutable honneur. Il lui faudrait entrer dans le rang des maîtres du siècle entier et être jugé en parallèle avec eux. Les oeuvres exposées étaient au nombre de quatorze; au premier rang: l'Olympia, le Fifre, le Bon Bock, l'Argenteuil, le Portrait de M. Antonin Proust, Jeanne. Ces tableaux soutenaient avantageusement la comparaison avec ceux des plus grands du siècle. Tout ce public spécial de peintres, de critiques, de connaisseurs, de gens de goût devait maintenant reconnaître, sans réserves, la maîtrise de l'homme qui les avait produits. L'Exposition universelle amenait les étrangers, dont le jugement était encore plus favorable. Les jeunes peintres du dehors faisaient tout spécialement de ses oeuvres l'objet de leurs études et de leurs observations. Les connaisseurs, en particulier des

Il est difficile de croire que Lanfranc eût osé invoquer le témoignage de tant de connaisseurs s'il n'eût pas eu cent fois raison. D'ailleurs, les grandes fresques qu'il avait précédemment exécutées

On l'aime beaucoup en Allemagne. Nous trouverons des connaisseurs l

Un savant critique du XVIIIe siècle, l'abbé Lauzi, a traité les ouvrages de Margaritone avec un profond dédain. «Ce ne sont, a-t-il dit, que de grossiers barbouillages. En ces temps infortunés, on ne savait ni dessiner ni peindreTel était l'avis commun de ces connaisseurs poudrés. Mais le grand Margaritone et ses contemporains devaient être bientôt vengés d'un si cruel mépris. Il naquit au XIXe siècle, dans les villages bibliques et les cottages réformés de la pieuse Angleterre, une multitude de petits Samuel et de petits Saint-Jean, frisés comme des agneaux, qui devinrent, vers 1840 et 1850, des savants