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C'est par le ministre de Saxe que j'ai appris que les troupes saxonnes détachées

Il semble que les populations saxonnes, une fois établies au nord de l'Allemagne, aient longtemps préféré la vie sédentaire. Les Goths ou Jutes, au contraire, se livrèrent aux migrations lointaines. Nous les voyons dans la Scandinavie, dans le Danemark, et presque en même temps sur le Danube et sur la Baltique. Ces courses immenses ne purent avoir lieu qu'autant que la population tout entière devint une bande, et que le comitatus, le compagnonnage guerrier, s'y organisa sous des chefs héréditaires. La pression que ces peuples exercèrent sur toutes les tribus germaniques, obligea celles-ci

Voici quelle était la situation de l'armée prussienne en entrant en campagne: Le corps du général Ruchel, dit de Westphalie, était composé de trente-trois bataillons d'infanterie, de quatre compagnies de chasseurs, de quarante-cinq escadrons de cavalerie, d'un bataillon d'artillerie et de sept batteries, indépendamment des pièces de régiment. Le corps du prince de Hohenlohe était composé de vingt-quatre bataillons prussiens et de vingt-cinq bataillons saxons, de quarante-cinq escadrons prussiens et de trente-six escadrons saxons, de deux bataillons d'artillerie, de huit batteries prussiennes et de huit batteries saxonnes. L'armée commandée par le roi en personne, était composée d'une avant-garde de dix bataillons et de quinze escadrons, commandée par le duc de Weimar, et de trois divisions; la première, commandée par le prince d'Orange, était composée de onze bataillons et de vingt escadrons; la seconde division, commandée par le général Wartensleben, était composée de onze bataillons et de quinze escadrons; la troisième division, commandée par le général Schmettau, était composée de dix bataillons et de quinze escadrons. Le corps de réserve de cette armée, que commandait le général Kalkreuth, était composé de deux divisions, chacune de dix bataillons des régimens de la garde ou d'élite, et de vingt escadrons. La réserve que commandait le prince Eugène de Wurtemberg, était composée de dix-huit bataillons et de vingt escadrons. Ainsi, le total général de l'armée prussienne était de cent soixante bataillons et de deux cent trente-six escadrons, servie par cinquante batteries, ce qui faisait, présens sous les armes, cent quinze mille hommes d'infanterie, trente mille de cavalerie, et huit cents pièces de canon, y compris les canons de bataillons; Toute cette armée se trouvait

Ses aides de camp le retinrent et l'éloignèrent des troupes saxonnes. Il erra toute la journée sur le champ de bataille; enfin, vers le soir, il s'arrêta derrière les lignes de notre aile gauche, au village de Léopoldau, ses officiers le déterminèrent

La ville d'Iéna est dominée par une hauteur, nommée le Landgrafenberg, au bas de laquelle coule la Saale; les abords du côté d'Iéna sont très escarpés, et il n'existait alors qu'une seule route, celle de Weimar, par Mühlthal, défilé long et difficile, dont le débouché, couvert par un petit bois, était gardé par les troupes saxonnes alliées des Prussiens. Une partie de l'armée prussienne était en ligne, en arrière,

Son exaspération lui fit commettre une nouvelle faute très grave, car, bien que le commandement des troupes saxonnes lui eût été retiré, il leur adressa un ordre du jour, dans lequel il exaltait au plus haut point leurs exploits, et par conséquent les siens, sans attendre, selon les usages militaires, que le chef suprême de l'armée eût fait

Cette circulaire par laquelle le prince Repnin annonce aux autorités saxonnes, qu'en conséquence d'une convention conclue dès le 27 septembre, l'empereur Alexandre, de l'aveu de l'Autriche et de l'Angleterre, a ordonné de remettre l'administration de la Saxe aux délégués du roi de Prusse qui doit

Il fallut encore trois victoires avant d'accabler ces Peuples sous le joug. Enfin le sang cimenta le Christianisme et la Servitude. Vitiking lui-même lassé de ses malheurs fut obligé de recevoir le baptême, et de vivre désormais tributaire de son Vainqueur. Le Roi pour mieux s'assurer du Pays, transporta des Colonies Saxonnes jusqu'en Italie, et établit des Colonies de Francs dans les terres des vaincus, mais il joignit

Il a fallu joindre les lectures françaises aux traditions saxonnes. Que d'historiens depuis Hue de Longueville jusqu'au sire de Saint-Valery!

Surtout il n'épargnait point Bernadotte qu'il accusait d'ingratitude sans nom, de sottise et de forfanterie. Il le connaissait bien, ayant suivi longtemps la fortune du général gascon, auquel il devait la vie. A l'entendre, lui, Dubourg, avait failli porter au trône de France son sauveur, alors exclu de la grande armée pour avoir, après Wagram, réfuté, dans un ordre du jour, le blâme impérial lancé contre ses troupes saxonnes, et ses manœuvres. A Paris, lui, Dubourg, qui secouait l