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Mis à jour: 19 juin 2025


Devez-vous hazarder des jours comme les vostres, Quand de vostre salut depend celuy des autres, Et quand par vostre mort l'Estat aura perdu, L'unique Protecteur qui l'auroit deffendu; Je me connois, Madame, & lors que je m'expose, Je croy n'exposer rien, ou du moins peu de chose. Elise m'apprend trop par d'éternels mépris, Que mes jours malheureux ne sont pas de grand prix.

Li unze enfant sunt marié; Le douzime ha Brons ramené A Joseph, sen oncle, et li dist. Quant Joseph l'oï, si s'en rist. Joseph dist: «Cestui-ci avoir Doi, si sera miens pour voir. Se vous et ma sereur voulez, Entre vous deus le me donrezIl respondent: «Volentiers, sire; Vostres soit sanz duel et sanz ireJoseph entre ses braz le prist, Acola le, et au pere dist Et

Je fiz un particullier récit de l'estat des vostres

Et bien vous me tuerez, vous me bruslerez, mais aussi en ay-je tué plusieurs des vostres, si vous me mangez j'en ay mangé plusieurs de vostre nation: & puis j'ay des freres, j'ay des oncles, des cousins & des parens, qui sçauront bien venger ma mort, & vous faire encore plus souffrir de tourmens que vous n'en sçauriez inventer contre moy; neantmoins avec tout ce grand courage, encores y en a il qui se trouvent souvent contraints de jetter de haut cris, que la force des douleurs arrachent du profond de leur estomach, mais tels hommes impatiens, estoient reputez ignominieux & infâmes entre les peuples du Peru avant leur conversion & y prenaient de si prés garde, que si pour aucun tourment, langueurs & supplices, le miserable deffunct avoit tesmoigné le moindre sentiment de douleur, ou en son visage, ou és autres parties de son corps, ou mesme, qu'il luy fut eschapé quelque gemissement ou quelque souspir, alors ils brisoient ses os aprés en avoir mangé la chair, & les jettoient

III, cap. 80. Fredeg., cap. 14. Moult fu le roy Childebert puissant, quant il fu en possession des deux royaumes. Lors se pourpensa comment il porroit vengier la mort son père et son oncle qui avoient esté occis par Frédégonde. Les osts de ses deux royaumes assambla, Wintrion et Gondoald fist capitaines, et leur commanda que ils entrassent au royaume que Frédégonde tenoit pour la raison de son fils Clotaire; que ils ardissent villes et prissent proies, et le peuple menassent en captivité. Atant se partirent de Champaigne la Rainsienne, en la contrée de Soissons s'embatirent, pour tout le païs gaster et destruire. Mais Frédégonde, qui tant sut de malice, se pourchaça d'autre part; elle manda tous les barons du royaume son fils, et Landri que le roy Gontran avoit fait devant tuteur et manbourg son fils, pour ce que il es toit encore en enfance. Quant tous furent assamblés, elle les araisonna par telles paroles, l'enfant entre ses bras, qui encore suçoit les mameles : «Seigneurs, nobles princes du royaume de France, vous ne devez pas avoir en despit vostre seigneur et vostre roy pour cela que il est petit; et ne devez pas le noble royaume de France souffrir estre gasté par ses ennemis ni les vostres. Or vous souviègne dont que vous me proumeistes que vous ne le despiseriez mie comme enfant, ains lui porteriez honneur comme roy. Et devez norrir l'amour que vous lui devez, en enfance, jusques

»Je tiendrois les vostres dignes d'un prince de vostre nom et de la parentelle de nos maisons, si, luy remonstrant ce que dessus, vous luy faisiez entendre que vous ne voulez les lieux de vostre obéissance servir de retraite aux enfans fugitifs de la présence de leurs pères, et particulièrement d'elle, qui ne sçauroit remarquer une seule rudesse que je luy aye jamais faicte, mais qui au contraire ressent bien en son âme, si elle n'est la plus ingrate du monde, que je n'ay oublié office de paternité, amitié, privauté et services dont je n'aye usé en son endroit .

Helas! n'estoit-il pas aymable? Oüy ma soeur, je l'aymois ce Prince miserable. J'ay souffert des le temps qu'il entra dans vos fers, Les mesmes maux pour luy qu'il a pour vous souffers. Mais, ô ma chere soeur, comme vous desolée, Et plus que vous d'ennuis, & de maux accablée, Les vostres par les miens se pourroient augmenter. Que le Ciel cesse enfin de vous persecuter, Et qu'

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