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Quand ce vint au nouvel temps, le père luy manda qu'il s'appareillast pour mouvoir avecques luy en Italie. Mais assez tost après eut autre conseil et luy manda qu'il ne se meust. En Italie vint le roy Charlemaines sans luy, et avant qu'il retournast de celle voie le firent les Romains empereur de la cité de Rome, si comme l'istoire devise en ses fais.

Sur ces entrefaites, M. Dubois me manda

Mais un jour le grand roi les manda devant lui, et, dans son équitable répartition des peines et des récompenses, il tint tout ce qu'il avait promis: tandis qu'il comblait d'honneurs et de distinctions les colons fidèles et obéissants, il fit enfermer dans d'affreux cachots les sujets qui n'avaient pas écouté sa voix.

Dans les arts libéraux. Icelluy Eracle escript au roy Dagobert de France devant nommé qu'il destruisist tous les Juis de son royaume, et le roy le fist ainsi comme il luy manda. La cause de ceste destruction fu pour ce que cellui Eracle avoit esperimenté que les signes des estoiles monstroient que le peuple circonci devoit destruire l'empire de Rome. Mais l'empereur en fu en partie deceu; car ce qu'il entendi des Juis fu fait par une gent que l'on souloit appeller Aguarins; mais or sont appellés Sarrasins; car il advint puis que il prisrent l'empire de Rome et le mistrent

Quelque temps après, mon cousin Estève me manda de venir

Le roi manda vers lui une vieille Rakshasî, personne éminente, dévouée, exécutant les choses

Après son départ, M. de Rémusat me manda qu'il retombait dans un profond ennui. La cour de Mayence vivait ordonnée et monotone. L'impératrice y était, comme ailleurs, comme partout, douce, rangée, oisive, et craignant d'agir, parce qu'elle redoutait, de loin comme de près, de déplaire

Madame de Chavornay, sans quitter son parloir de l'avenue Kléber, était la femme la mieux renseignée de Paris sur les on-dit du Faubourg. Elle manda un beau matin son neveu et sa nièce, qui se rendirent un peu inquiets

Ensuite le monarque, étouffé sous le poids de sa promesse, manda son ministre Soumantra et lui donna cet ordre, accompagné de longs et brûlants soupirs: «Que l'on prépare en diligence, pour servir de cortége au digne enfant de Raghou, une armée nombreuse, divisée en quatre corps, munie de ses flèches et revêtue de ses cuirasses.

J'ignore ce que contenaient les dépêches dont j'étais porteur, mais elles rendirent l'Empereur fort soucieux. Il manda M. de Talleyrand et partit avec lui pour Paris, il m'ordonna de le suivre et de me présenter chez le maréchal Duroc le soir. J'obéis.