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Mis à jour: 18 juin 2025
CAPHIS. Salut, Varron. Quoi, vous venez chercher de l'argent? LE SERVITEUR DE VARRON. N'est-ce pas aussi ce qui vous amène? CAPHIS. Oui; et vous aussi, Isidore? LE SERVITEUR D'ISIDORE. Justement. CAPHIS. Plaise au ciel que nous soyons tous payés! LE SERVITEUR DE VARRON. C'est de quoi je doute. CAPHIS. Voici le patron.
Les citoyens absents de Rome devaient y revenir pour la lustration; aucun motif ne pouvait les en dispenser. Velléius, II, 15. Aristophane, Acharn., 44. Eschine, in Timarch., 1, 21; in Ctesiph., 176, et Scholiaste. Dinarque, in Aristog., 14. Aristophane, Acharn., 171. Varron cité par Aulu-Gelle, XIV, 7. Cicéron, ad Famil., X, 12. Suétone, Aug., 35. Dion Cassius, LIV, p. 621. Servius, VII, 153.
Pour ce qui est du Déluge, il est remarquable que de toutes les Histoires, sans en excepter celles des Peuples du nouveau Monde, aucune ne remonte plus haut. C'est ce qui a obligé Varron[v] de nommer le temps qui l'a précédé, un tems inconnu. La licence des Poëtes a fort obscurci la mémoire de ce grand évenement. Mais les
Tite-Live, III, 31. Andocide, I, 82, 83. Démosthènes, in Everg., 71. Varron, L. L., VI, 16. Denys, X, I.
LE SERVITEUR DE VARRON. C'est une grosse somme, et qui fait voir que la confiance de votre maître surpassait celle du mien, autrement sans doute que leurs créances seraient égales. TITUS. Voil
VARRON ET CLAUDIUS. Nous, seigneur? BRUTUS. Oui, vous. Avez-vous vu quelque chose? VARRON. Non, mon seigneur, je n'ai rien vu. CLAUDIUS. Ni moi, mon seigneur. BRUTUS. Allez, saluez de ma part mon frère Cassius: dites-lui qu'il mette de bonne heure ses troupes en marche; nous le suivrons. VARRON ET CLAUDIUS. Vous serez obéi, mon seigneur. Les plaines de Philippes.
Que de choses depuis Varron, que Varron a ignorées! Ne nous suffirait-il pas même de n'être savant que comme Platon ou comme Socrate?
Elle appelait ainsi la belle région méditerranéenne, au centre de laquelle s'élevait «l'immobile rocher du Capitole». Les cités helléniques, chacune pour son compte, avaient semé des colonies; la Grèce s'était éparpillée: Rome a concentré l'univers; fiebat orbis urbs, a dit Varron. Il y avait eu un monde grec, mais point d'empire grec: il y eut un monde et un empire romains.
Les préceptes contenus dans son ouvrage sont tirés soit des anciens, de Caton, Varron, Columelle, Palladius, soit de ses propres observations. Cette partie, en quelque sorte pratique, est excellente et pourrait être encore utile aujourd'hui; elle est au moins très-curieuse par la connaissance qu'elle nous donne des procédés de la culture italienne, que l'on voit avec surprise avoir été, dès cette époque reculée, sur un grand nombre d'objets, la même que de nos jours. On peut citer pour exemple le chapitre de la culture du lin, où l'auteur prescrit les engrais, le double labour, l'un profond avant l'hiver, l'autre superficiel au printemps, et d'autres méthodes excellentes, auxquelles les cultivateurs modernes les plus instruits ne pourraient rien ajouter ; mais lorsqu'il veut s'élever
On ne peut pas raisonnablement supposer que de tels rites aient été imaginés pour la première fois par Romulus. Il est certain, au contraire, que beaucoup de villes avant Rome avaient été fondées de la même manière. Varron dit que ces rites étaient communs au Latium et
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