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Mis à jour: 2 mai 2025


[Note 19: Noies de l'abbé Serassi,

[Note 71: On a débité des fables sur la famille des Tassi. On l'a fait descendre, par exemple, des de la Tour, ou des Torriani, anciens seigneurs de Milan; le marquis Manso lui-même, dans sa Vie du Tasse, a adopté cette erreur. Serassi, mieux instruit par un arbre généalogique très-exact, a rétabli la vérité. Omodeo Tasso, première tige de cet arbre dressé dans le dernier siècle, florissait dans le treizième (en 1290). Sa gloire et la source de l'illustration de sa famille vient de ce qu'il renouvela et perfectionna l'ancienne invention des postes réglées, abolie et oubliée pendant les siècles de barbarie. C'est ce qui, dans la suite, en fit obtenir

Ici je dois traduire littéralement Serassi, l'historien de sa vie; je ne dois altérer aucun des traits qu'il a tracés avec une simplicité qui garantit sa bonne foi. «Véritablement, dit-il , le Tasse, comme il l'a lui-même avoué depuis, habitué

[Note 180: Serassi fait observer dans ses notes sur ces vers, t. II des Lettres, p. 342, que le Castiglione s'était servi déj

Serassi traite ce récit de romanesque; selon lui, le Tasse avait des preuves d'une trahison qu'un homme, qui se disait son ami, lui avait faite sur une matière très-délicate (cela ne dit point du tout que ce ne fut pas en matière d'amour). Il le rencontra dans la cour du palais, et voulut s'expliquer avec lui. Le faux ami, au lieu de s'excuser, répondit avec impertinence, et alla même jusqu'

Serassi parle aussi de plusieurs portraits. L'un des plus précieux est celui que le cardinal Cinthio fit faire dans les dernières années du Tasse, par l'habile peintre Frédéric Zucchero. Il doit être

Si la modération est un mérite dans ces luttes de l'amour-propre, il était bien plus grand chez le Tasse, dont les maux de l'ame et du corps, une oppression aussi injuste que cruelle et une longue captivité devaient aigrir et exaspérer l'humeur. Les moyens d'obtenir sa liberté l'occupaient encore plus que la défense de son poëme. Il avait, pour ainsi dire, épuisé les recommandations et les protections les plus puissantes. Le pape Grégoire XIII, le cardinal Albano, la grande duchesse de Toscane, le duc et la duchesse d'Urbin, la duchesse de Mantoue, plusieurs princes de la maison de Gonzague, et surtout le sensible et fidèle Scipion, avaient inutilement sollicité le duc Alphonse. La cité de Bergame, patrie primitive du Tasse, était intervenue, avait adressé au duc une supplique présentée par un de ses premiers citoyens: elle y avait joint le don d'une inscription lapidaire intéressante pour la maison d'Este, et que ses souverains désiraient depuis long-temps. Alphonse avait tout promis, mais les prisons de Ste.-Anne ne s'ouvraient point, et le malheureux Tasse continuait d'y languir. Quelle pouvait être la cause de ces rigueurs prolongées outre mesure, et de cet endurcissement? Serassi nous le dit avec sa naïveté ordinaire. «Véritablement le duc aurait volontiers cédé

Le biographe Sérassi[A], plein de tendresse pour le poète italien et pour le poète français, s'empresse d'observer que le satirique rétracta ou désavoua sa censure, et qu'il reconnut ensuite l'auteur de la Jérusalem comme un génie sublime, vaste, et heureusement pour les plus grands élans de poésie. Nous ajouterons que la rétractation est bien loin d'être satisfaisante, si nous en croyons l'anecdote rapportée par d'Olivet[B]. La sentence prononcée contre lui par le père Bouhours[C], n'est rappelée que pour confondre le critique, dont l'Italien Sérassi ne cherche point

Serassi, avec raison cette fois, rejette ce récit comme une fable. A tous les motifs que nous avons déj

[Note 167: Serassi, ut supr

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