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Mis à jour: 11 juin 2025
Lollius aurait poursuivi longtemps encore ce badinage, si Gallion ne l'eût arrêté. Marcus, n'espère pas voir ces merveilleuses nouveautés, dit-il. Bien que les hommes soient capables de grandes folies, ce n'est pas un petit tapissier juif qui saurait les séduire avec son mauvais grec et ses contes d'un Orphée syrien.
Des soldats sont accoudes sur le balcon. A droite il y a un enorme escalier. A gauche, au fond, une ancienne citerne entouree d'un mur de bronze vert. LE JEUNE SYRIEN. Comme la princesse Salome est belle ce soir! La lune a l'air tres etrange. On dirait une femme qui sort d'un tombeau. Elle ressemble a une femme morte. On dirait qu'elle cherche des morts.
«Comme Gondovald cherchait de tous côtés des secours, quelqu'un lui raconta qu'un certain roi d'Orient, ayant enlevé le pouce du martyr saint Serge, l'avait implanté dans son bras droit, et que lorsqu'il était dans la nécessité de repousser ses ennemis, il lui suffisait d'élever le bras avec confiance; l'armée ennemie, comme accablée de la puissance du martyr, se mettait en déroute. Gondovald s'informa avec empressement s'il y avait quelqu'un en cet endroit qui eût été jugé digne de recevoir quelques reliques de saint Serge. L'évêque Bertrand lui désigna un certain négociant nommé Euphron, qu'il haïssait, parce qu'avide de ses biens, il l'avait fait raser autrefois, malgré lui, pour le faire clerc, mais Euphron passa dans une autre ville et revint lorsque ses cheveux eurent repoussé. L'évêque dit donc: «Il y a ici un certain Syrien nommé Euphron, qui, ayant transformé sa maison en une église, y a placé les reliques de ce saint; et, par le pouvoir du martyr, il a vu s'opérer plusieurs miracles, car, dans le temps que la ville de Bordeaux était en proie
Ah! que je deteste les Romains! Ce sont des gens communs, et ils se donnent des airs de grands seigneurs. LE JEUNE SYRIEN. Ne voulez-vous pas vous asseoir, princesse? Pourquoi la regarder? . . . Oh! il va arriver un malheur. SALOME. Que c'est bon de voir la lune! Elle ressemble a une petite piece de monnaie. On dirait une toute petite fleur d'argent.
Sultan, le fameux étalon syrien, indompté et peut-être indomptable, qui,
Non, non, lui dis-je, mon cher Mentor, il ne dépendra pas de vous de me laisser ici: plutôt mourir que de vous voir partir sans moi. Ce maître syrien est-il impitoyable? est-ce une tigresse dont il a sucé les mamelles dans son enfance*? voudra-t-il vous arracher d'entre mes bras? Il faut qu'il me donne la mort ou qu'il souffre que je vous suive. Vous m'exhortez vous-même
Redevenu sauvage dans le delta du Rhône, qui sans doute lui rappelait son pays natal pour le lui faire obscurément regretter, le cheval syrien était mort révolté. Il revivait après un demi-siècle, et refusait par tous les moyens, en victorieux, l'humiliation de la selle. C'était le Sultan. LE S
IOKANAAN. Arriere! Arriere! J'entends dans le palais le battement des ailes de l'ange de la mort. LE JEUNE SYRIEN. Princesse, je vous supplie de rentrer! IOKANAAN. Ange du Seigneur Dieu, que fais-tu ici avec ton glaive? Qui cherches-tu dans cet immonde palais? . . . Le jour de celui qui mourra en robe d'argent n'est pas venu SALOME. Iokanaan. IOKANAAN. Qui parle? SALOME. Iokanaan!
LE JEUNE SYRIEN. Ne restez pas ici, princesse, je vous en prie. SALOME. Ce sont les yeux surtout qui sont terribles. On dirait des trous noirs laisses par des flambeaux sur une tapisserie de Tyr. On dirait des cavernes noires ou demeurent des dragons, des cavernes noires d'Egypte ou les dragons trouvent leur asile.
Sa chair doit etre tres froide, comme de l'ivoire . . . Je veux le regarder de pres. LE JEUNE SYRIEN. Non, non, princesse! SALOME. Il faut que je le regarde de pres. LE JEUNE SYRIEN. Princesse! Princesse! IOKANAAN. Qui est cette femme qui me regarde? Je ne veux pas qu'elle me regarde. Pourquoi me regarde-t-elle avec ses yeux d'or sous ses paupieres dorees? Je ne sais pas qui c'est.
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