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Mis à jour: 11 juin 2025


Kosta fils de Louka qui fleurit sous Motasim était encore un syrien chrétien, originaire de Balbek. Il alla étudier en Grèce et y acquit beaucoup de livres. Sa réputation comme savant et traducteur fut considérable. Il traduisit les Vues des philosophes sur la physique, par Plutarque .

Le narrateur dit que toute la terre ou contrée n'avait qu'une langue, il ne la spécifie pas cette langue. Quelqu'un a-t-il le droit de décréter que ce fut l'hébraïque? il me semble que non; d'abord parce que le texte lui-même ne le spécifie pas; parce que dans l'histoire d'Abraham, ce père de la race hébraïque, lorsque le texte dit qu'il naquit dans la terre de Sennar (bien connue pour être un pays syrien), qu'ensuite son père l'emmena dans le pays de Harran (également syrien), ce texte donne droit de penser que la langue nationale de la famille d'Abraham fut le syrien ou syriaque, dont, au temps de Jacob et de Laban, l'existence formelle nous est attestée, et se continue sans interruption jusqu'

Cesar est merveilleux. Il peut tout faire . . . C'est etrange qu'il se soit tue, le jeune Syrien. Je le regrette. Oui, je le regrette beaucoup. Car il etait beau. Il etait meme tres beau. Il avait des yeux tres langoureux. Je me rappelle que je l'ai vu regardant Salome d'une facon langoureuse. En effet, j'ai trouve qu'il l'avait un peu trop regardee.

II. La premiére chose que nous les prions de nous acorder, c'est qu'ils ne regardent pas en nous comme une chose injuste & déraisonnable, ce qu'ils se croyent permis dans leur propre Cause. Si un Payen leur demandoit pourquoi ils croyent les miracles qu'ils disent que Moyse a faits, ils ne répondroient autre chose, sinon que leur Nation les a toujours crûs si constamment & si fermement, qu'il est impossible que cette persuasion vienne d'ailleurs que du témoignage de ceux qui les ont vus. En éfet s'ils ne doutent point qu'Elisée, par exemple, n'ait augmenté l'huile d'une femme veuve, qu'il n'ait guéri tout d'un coup un Syrien lépreux, qu'il n'ait ressuscité le fils d'une femme chez qui il logeoit, si, dis-je, ils n'en doutent point, c'est uniquement sur ce que ces Faits ont été écrits & laissez

Il se nomme Hermon, et est aussi appelé Nilos; Syrien de naissance, de la ville de Bambyce; environ dix-huit ans, taille moyenne, sans barbe, creux au menton, signe près de la narine gauche, cicatrice au-dessous du coin gauche de la bouche, le poignet droit marqué de lettres barbares ponctuées. Son corps était couvert d'une chlamyde et d'un perizôma.

Alors on vit un spectacle magnifique: la course de ces huit chevaux était si rapide et si égale, qu'on eût pu croire qu'ils étaient attelés de front; un nuage les enveloppait comme un orage, et comme on entend le bruissement du tonnerre, comme on voit l'éclair sillonner la nue, de même on entendait le bruissement des roues, de même il semblait, au milieu du tourbillon, distinguer la flamme que soufflaient les chevaux Le cirque tout entier était debout, les parieurs agitaient les voiles et les manteaux verts et blancs, et ceux mêmes qui avaient perdu ayant adopté les couleurs bleue et jaune du Thessalien et du fils d'Athènes, oubliant leur défaite récente, excitaient les deux adversaires par leurs cris et leurs applaudissements. Enfin, il parut que le Syrien allait l'emporter, car ses chevaux dépassèrent d'une tête ceux de son adversaire, mais au même moment, et comme s'il n'eût attendu que ce signal, Lucius, d'un seul coup de fouet, traça une ligne sanglante sur les croupes de son quadrige; les nobles animaux hennirent d'étonnement et de douleur; puis, d'un même élan, s'élançant comme l'aigle, comme la flèche, comme la foudre, ils dépassèrent le Syrien vaincu, accomplirent la carrière, exigée, et, le laissant plus de cinquante pas en arrière, vinrent s'arrêter au but, ayant fourni la course voulue, c'est-

Au troisième tour, les avantages réels fictifs étaient plus clairement dessinés: l'Athénien avait gagné sur le Thessalien, le plus avancé de ses concurrents, la longueur de deux lances; le Syrien, retenant de toutes ses forces ses chevaux arabes, s'était laissé dépasser, sûr de reprendre ses avantages; enfin, Lucius, tranquille et calme comme le dieu dont il semblait être la statue, paraissait assister

J'ai si souvent entendu le tetrarque parler de lui. Je pense qu'il a peur de lui, le tetrarque. Je suis sure qu'il a peur de lui . . . Est-ce que vous aussi, Narraboth, est-ce que vous aussi vous en avez peur? LE JEUNE SYRIEN. Je n'ai pas peur de lui, princesse. Je n'ai peur de personne. Mais le tetrarque a formellement defendu qu'on leve le couvercle de ce puits.

SALOME. Vous ferez cela pour moi, Narraboth, et demain quand je passerai dans ma litiere sous la porte des vendeurs d'idoles, je laisserai tomber une petite fleur pour vous, une petite fleur verte. LE JEUNE SYRIEN. Princesse, je ne peux pas, je ne peux pas. Vous savez bien que vous ferez cela pour moi.

On dirait la main d'une morte qui cherche a se couvrir avec un linceul. LE JEUNE SYRIEN. Elle a l'air tres etrange. On dirait une petite princesse qui a des yeux d'ambre. A travers les nuages de mousseline elle sourit comme une petite princesse. IOKANAAN. Ou est celui dont la coupe d'abominations est deja pleine? Ou est celui qui en robe d'argent mourra un jour devant tout le peuple?

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bornait

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