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Non, non, lui dis-je, mon cher Mentor, il ne dépendra pas de vous de me laisser ici: plutôt mourir que de vous voir partir sans moi. Ce maître syrien est-il impitoyable? est-ce une tigresse dont il a sucé les mamelles dans son enfance*? voudra-t-il vous arracher d'entre mes bras? Il faut qu'il me donne la mort ou qu'il souffre que je vous suive. Vous m'exhortez vous-même

Vous seul avez vu clair, c'est vraiment admirable... Et, du moment que la vérité parle, il n'y a rien qui la puisse arrêter, ni l'intérêt des personnes, ni même la raison d'état... Marchez, que l'affaire suive son cours, quelles qu'en soient les conséquences. Le devoir de la magistrature est l

"Quand Griffe-d'Ours mourut, son fils lui succéda, puis un autre, puis un encore, puis enfin Donnahcomah. Mais, hélas! Donnahcomah est bien vieux; bientôt il ira rejoindre ses pères dans les prairies bienheureuses, et alors mon fils le Castor le remplacera. Maintenant, que mon fils me suive."

Par centaines, j'ai donc vu ces départs précipités, rapides comme des apparitions, entraînants comme des appels... Ceux qui passaient dans les autos avec cette promptitude vertigineuse avaient vraiment l'air non seulement d'y aller pour leur compte, mais de faire signe, d'appeler... de dire: «Qui m'aime me suive!», et le vent de leur course nous ébranlait au passage en nous faisant vaciller de regrets...

Il semble qu'on suive toujours la même route. Dans cette rapide succession de sites et d'horizons, les images des choses entrevues se superposent et se confondent. Toujours, sur le terrain des combats, les mêmes boîtes de métal scintillant au soleil, les mêmes débris, traces du bivouac, les mêmes troncs hachés. Dans ces bois, dans ces champs errent encore des fuyards égarés, ne sachant plus

Ecoute, frère, il faut que tu me rendes ce service. Va leur dire la vérité, que je suis ici blessé peu gravement, et que je les prie de ne pas venir me voir, dans la crainte qu'on ne les suive et qu'on ne découvre ma retraite. A la suite de ma lettre d'hier soir, ils finiraient par être inquiets, si je ne leur donnais des nouvelles.

Le temps de ramasser votre enjeu, répondit le jeune homme en appliquant un baiser sur les belles joues fraîches de madame de Sabran; et maintenant, continua-t-il adieu, madame la marquise, je suis page de monseigneur, vous comprenez qu'il faut que je le suive. Et Ravanne s'élança

Nassès, mon ami, adressez-vous ailleurs: vous trouverez cent femmes aimables qui se tiendront pour trop heureuses de vous avoir. J'aime Amine, répondait Nassès; je ne vois qu'elle qui me plaise. Elle m'a donné des espérances, et vous trouverez bon que je les suive. Des espérances! reprit Alibeg. Oui, des espérances... Morbleu! cela n'est point...

«Je vous entends, mademoiselle. Vous voulez que je vous quitte. J'obéis. Peut-être avez-vous un frère ou un père que vous craignez d'inquiéter? Hélas! regardez-moi: qui pourrait prendre ombrage d'une si effroyable laideur? Quelle femme n'est pas en sûreté près de moi? Souffrez que je vous accompagne, ou tout au moins que je vous suive. Tout

Quoi, mon père? Un baiser, et donne-moi la main. Voici. Qu'y a-t-il? Dis-moi, m'aimes-tu? J'en jure par Poséidon, dieu des chevaux! Non, non, pas de ce dieu des chevaux! C'est lui qui est la cause de mes malheurs. Mais si tu m'aimes réellement et de tout coeur, ô mon enfant, suis mon conseil. Et en quoi faut-il que je suive ton conseil?