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Mis à jour: 7 juin 2025


Il y avait enfin le salon de la belle madame de Sainte-Aulaire, amie de madame la duchesse de Broglie et qui ne faisait qu'un avec le salon de son amie; mais celui-ci était plus large et plus véritablement littéraire que le salon trop anglais de la fille de madame de Staël; la littérature y tenait une bien plus grande place. La maîtresse de la maison, quoique très-jeune et très-gracieuse, ne permettait pas

Lord Aberdeen était fort éloigné de le suggérer, car M. de Sainte-Aulaire en ayant laissé entrevoir l'idée: «Ce serait une insulte, lui dit-il, et toute négociation deviendrait impossible. Du reste, avant d'ajouter un mot, il faut que je communique, au moins officieusement, le Mémoire de M. Guizot

J'informai sur-le-champ M. Bresson, par le télégraphe, du fait que m'avait loyalement déclaré lord Aberdeen, et en lui envoyant la lettre de M. de Sainte-Aulaire avec ma réponse, j'ajoutai . «La surprise du roi et de la reine a été profonde. Après tout ce qui s'est passé depuis deux ans entre Paris, Madrid et Naples, après toutes les démarches que nous avons faites, tous les engagements que nous avons contractés, selon le désir de la reine Christine et du gouvernement espagnol et de concert avec eux, serait-il possible que tout

La réponse de M. de Sainte-Aulaire était bonne. J'ajoutai en post-scriptum

Madame de Sainte-Aulaire, qui la présidait, est assurément une des femmes les plus distinguées qui aient jamais existé, d'une grâce charmante, de l'esprit le plus cultivé, mais sans pédanterie, possédant un coeur aussi noble que son mari. Elle était entourée de trois filles, élevées sous ses yeux, et dignes d'elle. Une seule était alors mariée.

Le soussigné doit ajouter également, d'après les ordres de son gouvernement, que cette ratification ne devant pas avoir lieu plus tard, il n'existe désormais, en ce qui concerne la France, aucun motif pour que le protocole demeure ouvert. Le soussigné saisit, etc. Signé: SAINTE-AULAIRE. Londres, 8 novembre 1842 Protocole de la conférence tenue au Foreign-Office le 9 novembre 1842.

La clarté dont nous avions besoin se fit, presque au moment je la réclamais: le marquis Louis de Sainte-Aulaire, chargé d'affaires

L'entrevue eut lieu en effet le surlendemain, M. de Sainte-Aulaire présent, et M. Pageot s'acquitta de sa mission avec autant de mesure que de franchise. Après avoir parlé de l'état général de l'Espagne, du régent Espartero et des chances, bonnes ou mauvaises, de sa situation, il aborda la question du mariage de la reine Isabelle: «Le roi, dit-il, ne recherche et ne désire point la main de cette jeune reine pour l'un de ses fils. Il n'ignore pas qu'il y a en Espagne un parti puissant qui voudrait cette union; mais il croit devoir au repos de l'Europe le sacrifice d'une combinaison qui pourrait être considérée comme exclusivement avantageuse

Correspondance entre le maréchal Marmont et Boghos-Joussouf. Relation de la bataille de Nézib par Soliman-Pacha. Observations du maréchal sur cette bataille. Je reprends la plume pour consigner encore quelques souvenirs. M. de Sainte-Aulaire quitte Vienne. Appréciation de son caractère. Sa famille. Ses embarras. Anecdotes. Je me détermine

J'adressai aux cabinets de Vienne et de Pétersbourg la même question avec les mêmes observations préalables, et j'envoyai au comte de Sainte-Aulaire copie de ma lettre au marquis de Dalmatie, en le chargeant de la communiquer

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