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Mis à jour: 7 juin 2025
M. de Sainte-Aulaire, que le duc de Broglie fit envoyer comme ambassadeur
«Ce sujet exclusivement français étant épuisé, m'écrivait M. de Sainte-Aulaire, j'ai demandé
Comme je l'y avais engagé, M. de Sainte-Aulaire communiqua ma lettre
M. de Sainte-Aulaire, souffrant et fatigué, avait demandé et obtenu sa retraite de toute activité diplomatique. Le duc de Broglie lui avait succédé dans l'ambassade de Londres. Il était bien instruit des affaires de la Suisse, et lui portait, comme moi, la sollicitude la plus bienveillante. Arrivé
La réponse de lord Aberdeen ne se fit pas attendre: «Lord Cowley a mal compris ses instructions, me répondit sur-le-champ M. de Sainte-Aulaire , s'il y a vu l'intention de s'engager, avec le prince de Metternich, dans une campagne en faveur des jésuites. Rien de plus contraire
Pendant que se passait cette horrible scène, M. de Sainte-Aulaire, chef de brigade des gardes du corps et de service auprès de Mgr le Dauphin, entra dans la chambre de ce jeune prince et m'avertit que le château était investi. Je me levai précipitamment, et je portai sur-le-champ Mgr le Dauphin chez le Roi, qui était alors avec la Reine.
SOMMAIRE. Je reprends la plume pour consigner encore quelques souvenirs. M. de Sainte-Aulaire quitte Vienne. Appréciation de son caractère. Sa famille. Ses embarras. Anecdotes. Je me détermine
M. de Sainte-Aulaire trouva lord Aberdeen un peu embarrassé: «Je lui ai demandé s'il n'écrirait pas
En même temps que nous discutions les adresses des Chambres et que nous recevions aux Invalides le cercueil de Napoléon, l'exécution du traité du 15 juillet 1840 suivait en Orient son cours, et nous prenions en Europe la situation que ce traité nous avait faite. Je m'empressai, dans ma correspondance avec nos agents au dehors, de bien déterminer cette situation et l'attitude qu'elle leur prescrivait. J'écrivis le 10 décembre 1840 au comte de Sainte-Aulaire, ambassadeur du roi
Mais dès que les chambres furent réunies, je reconnus que la lutte serait bien plus sérieuse que nous ne l'avions imaginé, et la veille du jour où elle devait s'ouvrir, j'écrivis au comte de Sainte-Aulaire: «Sachez bien que le droit de visite pour la répression de la traite des noirs est, dans la chambre des députés, une grosse affaire. Je la discuterai probablement demain, et sans rien céder du tout; je suis très-décidé au fond; mais la question est tombée bien mal
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