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Virgile, VIII, 358. Des trois noms des tribus primitives, les anciens ont toujours cru que l'un était un nom latin, l'autre un nom sabin, le troisième un nom étrusque. Denys, I, 85. Plutarque, Quest. rom., 76. Pausanias, V, 23, 24. Comparez Tite-Live, XXIX, 12; XXXVII, 37. Pausanias, VIII, 43. Strabon, V, p. 232. Servius, ad Aen., III, 12. Denys, II, 30. Tite-Live, IX, 43; XXIII, 4.

Sabin était véritablement habile; de plus, il possédait au suprême degré l'art de se rendre sympathique

Son premier roi fut un Latin; le second un Sabin; le cinquième était, dit- on, fils d'un Grec; le sixième fut un

Ici le jeune garçon fit une pause assez longue pendant laquelle il alluma sa pipe avec une sorte de suffisance (Sabin fumait toujours, même en parlant), puis il raconta l'histoire que voici: «Mon père, jeunes sauvages, demeure partout.... partout il y a des grands chemins. Il s'est construit lui-même pour son usage et celui de sa famille un palais qu'il fait, selon sa fantaisie, transporter du Nord au Sud, de l'Est

Cela fit émeute dans la baraque. Tous les spectateurs s'étaient levés; on criait, on gesticulait, on interpellait Lucifer et Sabin. Tout le monde demandait des explications. Alors Jean réclama le silence d'une voix forte, et, avec l'assurance que donne le bon droit, il dit en montrant Lucifer et Sabin: «Ces gens sont des misérables; ils ont volé ce chien

Depuis un moment Sabin parlait tout seul, faisant les questions et les réponses

Sabin joua encore du fifre, puis, sans doute pour donner aux retardataires le temps d'arriver, il perdit quelques minutes

«Tiens! c'est M. Sabin, fit-elle en découvrant, par un large rire, deux belles rangées de dents qui n'eussent point déshonoré la bouche d'un jeune poulain. Oui, charmante Maritorne, c'est lui-même, avec son jeune frère César et sa petite soeur Aimée; deux enfants fort aimables que je vous engage

«Paul Grillaud, Italien qui vivoit l'an 1537, en son premier livre de Sortilegiis, tesmoigne, dit Crespet , qu'il y eut un pauvre homme sabin demourant près de Rome qui fut persuadé par sa femme de se gresser comme elle de quelques unguens pour estre transporté avec les autres sorciers. Pendant que ce transport se fist par la vertu de la gresse et de quelques paroles qu'on dit, et non pas par la vertu du diable, il se trouva donc au comté de Bénévent soubs un grand noyer, estoient amassez infinis sorciers qui beuvoient et mangeoient a son advis, et se mit avec eux pour boire et manger; mais ne voyant point de sel sur table, en demanda ne se doubtant que les diables l'ont en horreur et aussitost qu'il eust nommé le nom de Dieu de ce que le sel lui fut apporté disant en son langage: Laudato sia Dio pur e venuto questo sale, incontinent tous les diables avec leurs sorciers disparurent, et demoura le pauvre home tout seul, nud comme il estoit et fut contraint de s'en retourner

La recette fut magnifique! Sabin, de retour