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Cependant Fricoulet se préparait au départ; après avoir jeté autour de lui un regard rapide, pour bien s'assurer que tout était paré, il consultait sa boussole, une main sur le robinet d'introduction de vapeur l'autre manoeuvrant la roue du gouvernail, lorsqu'une voix chuchota

Le premier objet sur lequel s'arrêtaient les yeux était un cadavre sans tête, couché près d'un tonneau, dont le robinet, ouvert

Ici une phrase raturée par Robespierre: "C'est par la protection de Mirabeau que Danton fut nommé administrateur du département de Paris, en 1790, dans le temps l'Assemblée électorale était décidément royaliste." (France). Cette phrase n'en figure pas moins textuellement dans le discours de Saint-Just: "Ce fut par la protection de Mirabeau que tu fus nommé administrateur du département de Paris dans le temps l'Assemblée électorale étoit décidément royaliste." (Rapport, p. 10). L'accusation de Robespierre, concernant le remboursement de la charge de Danton, se retrouve dans diverses sources contemporaines, notamment dans les mémoires de Lafayette, t. III, p. 84, note. Robinet a publié la quittance du remboursement fait

« Or le robinet de mon chalumeau, ouvert en plein, dépense vingt-sept pieds cubes [Un mètre cube]

Le landlord s'en approcha, tourna le robinet placé au centre et tout aussitôt le fond s'ouvrit, tournant, comme une porte, sur des gonds invisibles. Alors Shoking vit un passage dans lequel, en se baissant un peu, deux hommes pouvaient marcher de front. C'était le chemin de la cachette était John Colden, le condamné

Alors Telingâ se baissa, laissa tomber dans la «marmite», par une ouverture qu'il reboucha aussitôt, une espèce de mélange explosif et, au bout de quelques instants, des crépitements retentirent. Nous partons, dit-il, tenez-vous bien. En même temps, il ouvrit un robinet.

Lorsque la première cuve est pleine, elle déverse par un robinet son trop-plein, qui va remplir la seconde cuve; et ainsi de suite jusqu'

Ni les tourments du coeur ni les tracas de justice n'avaient interrompu la production littéraire de George Sand. Elle travaillait chaque jour, ou plutôt chaque après-midi et chaque nuit, avec une régularité automatique. Le graveur Manceau, qui vécut longtemps dans son intimité et qui l'expliquait un peu comme un montreur de phénomènes, si nous en croyons le Journal des Goncourt, donnait d'elle cette définition: «C'est égal qu'on la dérange. Supposez que vous ayez un robinet ouvert chez vous, on entre, vous le fermez: c'est madame SandRien ne la pouvait distraire de sa besogne quotidienne. Bonne ou médiocre, la copie qu'elle devait fournir prenait le chemin de l'éditeur. Ainsi, en 1836-1837, deux oeuvres fort inégales: Simon et Mauprat. «Le roman de Simon, dit George Sand dans la notice, n'est pas, je crois, des mieux conduits, mais j'en avais connu les types, en plusieurs exemplaires dans la réalitéDe vrai, toute cette intrigue de l'avocat Simon, épousant Fiamma Faliero, fille de la comtesse, mais non pas du comte de Fougères, sous les auspices de maître Parquet et de sa fille Bonne, est fort ennuyeuse. Or Simon, fils de la modeste paysanne Jeanne Féline et neveu d'un abbé républicain, c'est l'image de Michel (de Bourges). George Sand, alors en pleine ferveur d'enthousiasme pour son défenseur, a peint ce portrait avec sollicitude: «Simon portait au dedans de lui-même la lèpre qui consume les âmes actives lorsque leur destinée ne répond pas

Une nuit qu'il pleuvinait, nous faisions cercle au robinet d'un tonneau penché vers nous sur une charrette dont les brancards étaient en l'air. Une chandelle collée

A côté de Rabelais, que son époque ne lisait guère, Danton avait placé quelques livres italiens sévèrement choisis. «Tout en dédaignant la littérature frivole, dit Rousselin, et n'ayant jamais lu de roman que les chefs-d'oeuvre consacrés qui sont des peintures de moeurs, il apprit en même temps la langue italienne, assez pour lire le Tasse, Arioste et même le Dante.» M. Manuel Seurat ajoutait, d'après le docteur Robinet, qu'il parlait souvent l'italien avec sa belle-mère, Mme Soldini- Charpentier, dont c'était la langue maternelle.