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Mis à jour: 30 avril 2025
«L'Anglais voulut s'élancer; je le retins; la fuite était impossible,
Je levai mon fusil, je mis en joue, et j'appuyai le doigt sur la détente, lorsque quelque chose de rouge frappa mes yeux, c'était du sang! J'abaissai mon fusil avec un sentiment de terreur et retins les rênes. Mais, avant que j'eusse pu ralentir ma course, je fus porté au milieu du troupeau abattu. L
Je retins la promesse de madame Lambertini, je lui fis remarquer que Berthier ne nous avait pas perdues de vue un seul instant: il avait l'air inquiet, jaloux même de notre a parte. «Orgoglio è, me dit-elle; cela passe, mais le mal que son inconstance fait
Les pieds étaient si près de moi qu'une envie folle, stupide, inexplicable, me saisit de les toucher tout doucement. Je me retins. Comme il ne réussissait pas en ses projets, il se vexa. «Tu es bien méçante aujourd'hui», dit-il.
C'était une inspiration de fou. Je me retins heureusement, et je m'étendis sur mon lit pour apaiser en moi les agitations du corps. Mes nerfs se calmèrent un peu, mais, le cerveau surexcité, je revis dans un rapide souvenir toute mon existence
Et Marguerite fit un mouvement pour se lever; je la retins en lui disant: Je veux que tu sois heureuse, et que tu n'aies rien
Vous devinez, mon cher ami, avec quelle impatience, mêlée de crainte, j'attendis six heures. Le lendemain, sous un prétexte de rangement, je retins mon domestique près de moi; six heures sonnèrent tandis qu'il était l
La représentation se termina par une pantomime que je retins scène par scène. Rentré
Son agitation devint extrême. Elle posa son front sur ma main; il était brûlant; une contraction terrible défigurait ses traits. Au nom du ciel, m'écriai-je, chère Ellénore, écoutez-moi. Oui, je suis coupable: cette lettre... Elle frémit et voulut s'éloigner. Je la retins. Faible, tourmenté, continuai-je, j'ai pu céder un moment
Le voici pourtant arrivé ce moment où il s'agissait de montrer si je savais me tenir parole. Un matin, après l'office, je vis entrer la supérieure chez moi. Elle tenait une lettre. Son visage était celui de la tristesse et de l'abattement; les bras lui tombaient; il semblait que sa main n'eût pas la force de soulever cette lettre; elle me regardait; des larmes semblaient rouler dans ses yeux; elle se taisait et moi aussi: elle attendait que je parlasse la première; j'en fus tentée, mais je me retins. Elle me demanda comment je me portais; que l'office avait été bien long aujourd'hui; que j'avais un peu toussé; que je lui paraissais indisposée. À tout cela je répondis: «Non, ma chère mère.» Elle tenait toujours sa lettre d'une main pendante; au milieu de ces questions, elle la posa sur ses genoux, et sa main la cachait en partie; enfin, après avoir tourné autour de quelques questions sur mon père, sur ma mère, voyant que je ne lui demandais point ce que c'était que ce papier, elle me dit: «Voil
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