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Ceux que nous publions aujourd'hui nous font assister

Puisque nous avons publié dans notre numéro du 13 Juillet 1916, la critique de l'opinion de M. Minutin, qui n'accepte pas la modification de l'heure, il est juste que nous lui laissions dire ses raisons et c'est pourquoi nous publions la lettre ci-dessous: Eh bien, c'est une erreur, M. Minutin n'a pas avancé sa montre d'une heure. M. Minutin a protesté et continue

Nous publions quarante lettres inédites de cette correspondance, qui, si nous ne nous trompons, jettent sur l'homme de génie qui les a écrites, et sur la femme aimable

Nous publions en même temps les premiers documents (dessins et photographies) que nous envoient nos correspondants italiens, accourus en Calabre dès la première nouvelle du désastre: Une vue des fouilles dans les décombres

Nous allons dorénavant multiplier ces gravures qui, encadrées ou conservées en portefeuille, formeront bientôt une collection inestimable d'oeuvres d'art, une sorte de galerie des chefs-d'oeuvre modernes. Nous publions aujourd'hui la reproduction d'une merveilleuse «

Sur la réponse négative de M. Lenepveu qui déclara que ce n'était pas l'usage, Victor Hugo lui dit: «Je constate que, nous autres proscrits, nous signons et publions ce que nous écrivons et que le gouvernement anglais cache ce qu'il écritAprès avoir rempli leur mandat, le connétable et ses deux officiers s'étaient assis.

Publions les bans demain, et remets-moi l'argent aujourd'hui, j'en ai besoin. Non pas! non pas! s'écria la vieille fermière. Tu l'auras le jour de la noce. Donnant, donnant, mon garçon! La vue de l'or avait ranimé M. Bricolin. Il se mit

On a encore de madame de la Fayette un portrait de madame de Sévigné, l'un des meilleurs qu'on ait faits dans ce siècle l'on en fit tant. L'amitié retraça fidèlement les traits d'un modèle qu'elle n'avoit pas besoin d'embellir. Ce portrait a été placé dans le volume que nous publions

Cette lettre, l'ami auquel Ymbert Galloix l'adressait a bien voulu nous la confier. La voici. Elle fera mieux connaître Ymbert Galloix que tout ce que nous pourrions dire. Nous la publions telle qu'elle est, avec les répétitions, les néologismes, les fautes de français (il y en a), et tous ces embarras d'expression propres au style genevois. Les deux ou trois suppressions qu'on y remarquera étaient imposées

C'est d'une époque un peu postérieure que sont datées les lettres que nous publions, et qui se continuant presque jusqu'aux derniers jours de la vie de mademoiselle Aïssé, nous dispensent de prolonger cette notice . Elles sont adressées