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Mis à jour: 1 juillet 2025
La meilleure preuve de ceci, c'est qu'elle n'a ni un grand poëte épique comme Homère, Dante, le Tasse, ni un grand poëte lyrique sacré comme David, ni un grand poëte lyrique profane et philosophique comme Horace et Pindare, ni un grand dramatiste comme Eschyle ou Shakspeare.
Ginguené ne quittait guère son ami Lebrun Pindare. Sitôt après la mort de celui-ci, il alla trouver madame Lebrun (qui par parenthèse avait été cuisinière), et lui demanda les manuscrits de Lebrun, dont il désirait se faire éditeur. Madame Lebrun les lui remit tous. En les feuilletant pour les mettre en ordre, Ginguené fut un peu saisi de trouver plus de cent épigrammes faites contre lui-même; quelques-unes étaient atroces. On conçoit que l'éditeur les mit toutes de côté; mais je l'ai toujours soupçonné de s'être vengé en faisant imprimer trop de choses faibles et inutiles dans les oeuvres de Lebrun, ce qui nuit beaucoup
Les guerres religieuses et les orages politiques qui signalèrent en France l'arrivée des Médicis n'arrêtent point l'essor de l'art. Au moment où une balle atteignait, sur les échafauds des Innocents, Jean Goujon, qui venait de retrouver le ciseau païen de Phidias, Ronsard retrouvait la lyre de Pindare, et fondait, aidé de sa pléiade, la grande école lyrique française.
Quoy, vous baissez les yeux, mouvemens imparfaits, Demetrie, Pindare, où sont donc mes bien-faits? Je vous ay rendus francs, & vostre ingratitude Me veut laisser croupir dedans la servitude, Insensibles, cruels, pour estre malheureux, Ne suis-je plus en droit de dire je le veux?
Les trois tons de l'ode, la prière, la colère, la philosophie, se combinent, comme on le voit, d'un seul jet dans cette ode. Le poëte invoque, il maudit, il condamne; le vers, de femme dans l'invocation pour son ami, devient viril et de flamme dans l'imprécation contre l'inventeur de la navigation; puis il devient calme, sévère et religieux dans les considérations sur la sacrilége audace humaine. L'ode est en trois bonds, comme celle de Pindare, son émule; mais dans chacun de ces trois bonds, en apparence désordonnés, il avance vers son but: émouvoir, attendrir, effrayer sur la vie de Virgile exposé
Oui, l'âme de Victor Hugo est avec ses pareils, avec Homère, avec Pindare, avec Eschyle, avec Dante, avec Shakespeare; mais aussi elle est, elle sera vue toujours vivante parmi nous; et longtemps après que les petits-fils de nos fils seront couchés sous le gazon, c'est elle, c'est cette âme qui continuera
Platon, Lois, IX, 881. Ovide, Tristes, I, 3, 43. Pindare, Pyth., IV, 517. Platon, Lois, IX, 877. Diodore, XIII, 49. Denys, XI, 46. Tite-Live, III, 58. Institutes de Justinien, I, 12. Gaius, I, 128. Denys, VIII, 41. Horace, Odes, III. Thucydide, I, 138.
Les anciens en faisaient l'atelier de Vulcain. Pindare décrit l'éruption de 476, mais Homère ne le mentionne pas comme volcan. Il avait cependant forcé déj
Un second caractère de sa poésie, c'est qu'elle ne dérive pas, comme la grande poésie, de l'enthousiasme, mais du badinage. Nous ne donnons pas cela comme une qualité, mais comme une infériorité du génie poétique d'Horace. Ce génie même, quand il a abordé les grands sujets religieux, philosophiques, patriotiques, est quelquefois élevé, mais jamais complétement sérieux. Ce n'est ni l'accent ému et pieux de David, ni l'accent révélateur d'Orphée, ni l'accent héroïque d'Alcée, ni l'accent majestueux de Pindare; il n'avait de foi bien profonde ni dans la divinité, ni dans la vertu, ni dans la patrie, ni dans la liberté. Il en parle quelquefois admirablement, mais sans conviction; on sent que ce n'est pas sa foi, mais son thème; c'est un musicien accompli, qui exécute bien la note élevée, mais qui ne l'invente pas;
Quand la terre était le centre du monde; quand, selon Thalès, elle était portée sur les eaux comme un grand navire; quand, selon Pindare, elle était soutenue par des colonnes de diamant; quand, selon Moïse, c'était le soleil qui tournait autour d'elle; quand, selon Aristote, nous avions huit cieux au-dessus de nous, le ciel de la Lune, celui de Mercure, celui de Vénus, celui du Soleil, celui de Mars, celui de Jupiter, celui de Saturne, et enfin le firmament, voûte solide où étaient enchâssées les étoiles, on pouvait, quoique ce fût le ciel païen, placer l
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