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Mis à jour: 2 juin 2025
Depuis mon arrivée au Pavol, j'avais beaucoup réfléchi
Le Pavol. Alors, en écrivant
Elle avait des cheveux bruns plantés bas sur le front, un profil grec d'une pureté parfaite, une carnation superbe, des yeux bleus avec des cils foncés et des sourcils bien dessinés. Grande, forte, avec la poitrine très développée, elle eût porté plus de dix-huit ans si sa bouche, malgré un arc un peu dédaigneux qui menaçait de trop s'accentuer plus tard, n'avait eu des mouvements enfantins dénotant une grande jeunesse. Sa démarche et ses gestes étaient lents, un peu nonchalants, toujours harmonieux sans aucune affectation. Un ami de M. de Pavol avait dit un jour en riant qu'
Je sais que mon père est aimé de tout le monde, répondit M. de Conprat, le visage plus épanoui que jamais. C'est pour moi un bonheur toujours nouveau de le constater. Mais, reprit le curé, n'êtes-vous pas parent de M. de Pavol? Parfaitement; cousin au troisième degré. Voici sa nièce», dit le curé en me présentant.
J'étais naturellement trop inexpérimentée pour faire immédiatement une étude approfondie de M. de Pavol, mais je le regardais avec le plus grand intérêt. Lui, de son côté, tout en lisant la lettre que j'avais apportée, jetait de temps en temps un regard observateur sur moi, comme pour constater que ma physionomie ne contredisait pas les assertions du curé.
Oui, j'arrive du Pavol, et j'ai voulu absolument venir seul auprès de vous. Ce jardin mouillé ne vous rappelle-t-il rien, Reine?» Je ne répondis pas directement
«Suzon, lui dis-je en me plaçant devant elle d'un air délibéré, je suis donc riche? Qui vous a dit cette sottise, mademoiselle? Cela ne te regarde pas, Suzon; mais je veux que tu me répondes et me dises où demeure mon oncle de Pavol. Je veux, je veux, grogna Suzon; il n'y a plus d'enfant, ma parole! Allez vous promener, mademoiselle! Je ne vous dirai rien, parce que je ne sais rien.
Je suis logique, mon oncle, simplement. Dites moi, on n'aime jamais un autre homme que son mari? Non, jamais, répondit M. de Pavol en souriant. Eh bien! puisqu'on n'aime jamais un autre homme que son mari, qu'on aime toujours naturellement son mari d'amour et qu'on ne peut pas vivre sans aimer, j'en conclus qu'il faut se marier.
Grande et belle, répliqua M. de Pavol avec complaisance, une véritable déesse et la joie de mes yeux. Du reste, vous allez la voir dans un instant, car nous arrivons.» Nous tournions en effet dans une avenue de grands ormes qui conduisait au château. Ma cousine nous attendait sur le perron. Elle me reçut dans ses bras avec la majesté d'une reine qui accorde une grâce
Ses visites au Pavol devinrent très rares; quand je le voyais, je le trouvais changé moralement et physiquement. Alors je pleurais de nouveau en cachette, tout en me mettant en rage contre lui. Il eût été si logique de m'aimer! si rationnel de voir que nos deux natures se ressemblaient énormément et que je l'aimais
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