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Mis à jour: 10 juin 2025
Une belle Hollandaise, que je félicitais de parler le français des Parisiennes, me répondait en souriant: «C'est le Français qui m'a appris l'amour et c'est l'amour qui m'a appris le français.» Mais Karl Oberbach aura beau faire, il n'apprendra ni l'amour ni le français, même avec une adorable créature comme Lili.
Madame Ackermann était capable d'une sorte d'amitié droite et simple. Elle s'était fait pour ses vacances parisiennes une famille d'esprit. Comme toutes les belles âmes elle aimait la jeunesse. Le docteur Pozzi et M. Joseph Reinach n'ont pas oublié le temps où elle les appelait ses enfants. Chaque fois que quelqu'un de ses jeunes amis se mariait, elle était désespérée. Pour elle, bien qu'elle y eût passé jadis assez doucement, mais sous conditions, le mariage était le mal et le pire mal, car sa candeur n'en soupçonnait pas d'autre. Elle était philosophe: l'innocence des philosophes est insondable. À son sens, un homme marié était un homme perdu. Songez donc! Les femmes, même les plus honnêtes, sont tellement «instinctives»! Elle frissonnait
Dans ce système, le moindre changement d'attitude se traduit par des déplacements de plis du vêtement tout entier: en sorte que, malgré la simplicité et l'uniformité des pièces de leur habillement, les Tanagréennes offrent des silhouettes et des arrangements de lignes beaucoup plus variés et plus imprévus que ne font nos Parisiennes avec leur harnachement si compliqué.
Quelle singulière mode! fit Diane rêveuse. Pourquoi plaire aux vieillards et non aux jeunes gens? Les Parisiennes veulent plaire
Je vous remercie, au contraire; seulement, nous autres Parisiennes, nous avons la coquetterie des réticences, et je ne suis pas assez certaine de ne plus revoir le monde civilisé pour m'en départir. Il est impossible pourtant que vous manquiez aux engagements pris envers la communauté, dit Stanislas. Chacun de nous a solennellement promis une histoire ou un conte.
Elle était jolie encore, conservée dans cette existence tranquille comme un fruit d'hiver dans une armoire close; mais rongée, ravagée, bouleversée d'ardeurs secrètes. Elle se demandait si elle mourrait sans avoir connu toutes ces ivresses damnantes, sans s'être jetée une fois, une seule fois, tout entière, dans ce flot des voluptés parisiennes.
Ces deux aimables femmes avaient cependant un travers fâcheux qui leur était commun avec beaucoup de Parisiennes de leur temps et de leur condition. Malgré beaucoup d'esprit, elles se pâmaient d'une admiration bourgeoise devant cette aristocratie plus ou moins pure qu'on voit étaler tour
Rue Caumartin, Nefftzer, auquel je demande quel est le nouveau gouvernement, me jette de sa grosse face, que semblent réjouir nos désastres: «Vous avez Assi!» Il y a de l'hébétement sur les physionomies parisiennes, et de petites foules, le nez en l'air, regardent idiotement Montmartre et ses canons, par les percées des rues Lepeletier et Laffitte.
La monotonie générale des autres voies parisiennes est une règle
Il se passa de longues années avant que j'eusse l'occasion de la revoir; elle avait rempli ces années de bonheur, de vers et de célébrité: des volumes de poésie, des romans de caractère, des articles de critique de moeurs qui rappelaient Addison ou Sterne; des tragédies bibliques, où le souvenir d'Esther et d'Athalie lui avait rendu quelque retentissement lointain de la déclamation de Racine; des comédies, où la main d'une femme adoucissait l'inoffensive malice de l'intention; enfin des Lettres parisiennes, son chef-d'oeuvre en prose, véritables pages du Spectateur anglais, retrouvées avec toute leur originalité sur un autre sol: tout cela avait consacré en quelques années le nom du poëte et de l'écrivain.
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