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Mis à jour: 24 juillet 2025


Pauvre, dites heureux comme un roi, ma chère, excellente enfant, s'écria Romane en serrant le bras de Natasha

Le général se retourna vivement, quitta le bras de Mme Papofski et fit asseoir tout le monde. «Est-ce vrai que tu t'étonnes de ma méchanceté, Natasha? Tu me trouves donc bien mauvais? Natasha: Mon oncle....» Natasha rougit et se tut. Le général, souriant: Parle, mon enfant, parle sans crainte... Puisque je viens de dire que j'ai faim et soif de la vérité.

Madame Papofski: avec un sourire forcé. Et moi, Natasha, est ma place? Natasha, embarrassée et rougissant: Pardon, ma tante; je ne pensais pas... qu'il vous fût agréable... de..., de.... ...de sentir l'odeur du tabac, cria le général en embrassant

Natasha avait couru

Les quatre enfants partirent en courant. Natasha aurait bien voulu les suivre; mais elle avait seize ans, il fallait bien donner quelque chose

Natasha: «Oh oui! bien triste; c'est lui qui anime tout, qui dirige tout; mes frères et moi, nous ne faisons rien sans le consulterLe Général: «Tu l'aimes doncNatasha: «Je crois bien, que je l'aime! Je l'aime autant que vous, grand-pèreLe général sourit, baisa le front de Natasha. Le Général: «Eh bien, mon enfant, il dépend de toi de faire rester Romane près de nous toujours

Romane: «Je ne me fâchais pas, mademoiselle: je tremblais d'être découvert, et votre pitié pour mes chers compatriotes m'attendrissait jusqu'au fond de l'âmeNatasha: «Je ne comprends pas très bien, mais je suis contente que vous soyez Polonais et catholique: c'était une peine pour moi de vous croire Anglais et protestantLe général: «Tu vas comprendre en deux mots, ma Natasha chérie.

Le général: «Tu oublies donc, Natasha, qu'elle voulait nous dénoncer tous et nous faire tous envoyer en Sibérie? Elle n'aura d'autre punition que de retourner dans ses terres, qu'elle n'aurait pas quitter, et de ne pas avoir ma fortune, qu'elle ne devait pas avoirNatasha: «C'est vrai, mon oncle, mais nous sommes si heureux, tous réunis, que cela fait peine de penser

Natasha baissa la glace, mit la tête

«Mon enfant, lui dit-il, sais-tu que je suis vieuxNatasha: «Je le sais, grand-père; mais votre santé est bonne, et vous vivrez longtemps encoreLe Général: «Mon enfant, sais-tu que je serais bien heureux si Romane ne nous quittait jamaisNatasha: «Et moi aussi, grand-père, je voudrais qu'il restât toujours avec nousLe Général: «S'il nous quittait, ce serait bien triste

Mot du Jour

qu'oublieuse

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