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Mis à jour: 24 juillet 2025
J'ai pitié de ces infortunés... Si vous saviez!... Mais assez, plus un mot! Je vous en conjure.» Natasha: «Bien, nous n'en parlerons plus... avec vous, car j'en cause souvent avec maman. Je suis bien aise de vous avoir enfin attendri sur... Pardon, je me sauve pour ne pas recommencer.» Et Natasha, riante et légère, s'échappa en courant et vint raconter ses succès
Les portières se refermèrent, et les voitures se remirent en marche. Natasha essaya de s'asseoir sans écraser personne; mais, de quelque côté qu'elle se retournât, elle entendit un: Aïe! qui la faisait changer de place. «Puisque c'est ainsi, dit-elle, je vais m'asseoir par terre.»
Natasha tendit ensuite les deux mains
Natasha: «Tant mieux, mon oncle; nous serons tous contents de nous en aller a cause de maman. Et puis...» Natasha rougit et se tut. Le général: «Et puis quoi? De qui as-tu peur ici? Achève ta pensée, Natashineka.» Natasha: «Mon oncle,... c'est que c'est mal d'être enchantée de quitter ma tante et mes cousins?»
«Dans quinze jours tu sauras tout, mon enfant. Mange ton déjeuner et ne t'inquiète pas des absents.» Natasha suivit gaiement le conseil de son oncle, et l'entendit avec bonheur annoncer leur départ
Natasha: «Non, mon oncle, je me mettrai en face de vous quand vous serez placé. Alors, montez, les petits, dit le général en souriant. A toi
Alexandre: «Nous rions, parce que nous nous sommes tous cognés et que nous nous sommes cassé la tête.» Natasha, riant: «Cassé la tête! et vous riez pour cela?... Et vous aussi, ma bonne madame Dérigny?» Madame Dérigny: «Oui, mademoiselle; mais avant il faut dire que nous avions pris une leçon de chant qui nous avait fort égayés.» Natasha: «De chant? Qui donnait la leçon? qui la prenait?»
C'est horrible! horrible! Et moi qui le traitais si familièrement! J'ai dû le faire souffrir bien des fois!» Romane: «Vous, chère enfant: Vous avez été ma principale joie, ma plus grande consolation. Vraiment? dit Natasha en relevant la tête et en le regardant d'un air joyeux. Je vous remercie de me le dire, et je suis bien contente d'avoir un peu adouci votre position.»
Natasha: «Mon oncle, la faim vous fait oublier vos bons sentiments, sans quoi vous n'auriez pas fait une si malicieuse interprétation de mes paroles. Monsieur Jacks..., pardon, je veux dire prince Romane, demandez, je vous prie,
Natasha: «Au contraire, grand-père, il m'aime beaucoup! Je le vois et je le sens! Il pense toujours
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