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Mis à jour: 24 juillet 2025
Dérigny ne répondit pas; Romane se tut également; Natasha alla gronder encore ses méchants cousins; pendant ce temps, Dérigny et Romane avaient disparu.
Le général avait entendu Natasha et sa nièce; il ne dit rien, se leva, laissa entrer au salon Mme Dabrovine et sa suite, entra lui-même dans la galerie, tira vigoureusement les cheveux et les oreilles aux trois aînés, distribua quelques coups de pied
La portière s'ouvrit. Natasha sauta
Le feltyègre: «Natalia Dmitrievna, je voudrais savoir si on s'arrête ici pour prendre le café et se reposer un instant.» Natasha: «Moi, je ne demande pas mieux: j'ai faim et j'ai les jambes fatiguées; mais mon oncle et maman dorment. Madame Dérigny! ...Ah! voici M. Jackson! Faut-il descendre? Qu'en pensez-vous?»
Mlle Natalie nous a dit que vous vouliez bien nous laisser venir au salon. Le général: Certainement, mon bonhomme; Natasha est mon chargé d'affaires; fais tout ce qu'elle te dira.»
Natasha, ma chère enfant, comment ai-je pu faire couler vos pleurs, moi qui donnerais ma vie pour vous voir heureuse!» Natasha releva la tête et sourit; son visage était baigné de larmes. «C'est la faute de grand-père, dit-elle.»
«Je l'ai converti, maman; il a enfin pitié de ces pauvres Polonais. Il me l'a dit, mais il ne veut pas qu'on en parle; c'est singulier qu'un homme si bon déteste des gens si malheureux et si courageux? «Natasha, dit le général, qui riait et se frottait les mains, sais-tu que nous partons dans huit ou dix jours?»
Natasha: «Mais vous, maman, vous n'en avez certainement aucun. Je le sais. J'en suis sûre.» Madame Dabrovine: «Tu parles comme on parle
Dérigny: «A la dernière station avant la frontière, mon général.» Le général: «Bon pâté, parbleu! c'est un dernier souvenir de ma pauvre patrie. Mange, Natasha; mange, Natalie; mange, Romane.» Et il leur donnait
Madame Dabrovine: «Elle nous croit plus riches que nous ne sommes, ma chère enfant.» Natasha: «Maman, comme mon oncle est bon pour nous!» Madame Dabrovine: «Oui, bien bon! il l'a toujours été pour moi et pour ton pauvre père; nous l'aimions bien aussi.» Natasha: «Maman... pourquoi n'est-il pas bon pour ma tante?»
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