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Mis à jour: 24 juillet 2025
Merci, mon oncle; que vous êtes bon! s'écria Natasha en se jetant
Natasha regardait toujours Dérigny, comme pour demander une explication. Il lui fit signe en riant que ce serait pour plus tard. Natasha commença
Le général, riant et la bouche pleine: «Dis donc, Natasha,
Le général: «Y a-t-il de la place pour moi, mes enfants, dans votre voiture?» Natasha: «Certainement, mon oncle; je me mettrai en face de vous avec Alexandre et Michel et vous serez près de maman.» Le général fit monter en voiture sa nièce Dabrovine, malgré une légère résistance, car elle aurait voulu faire monter son oncle le premier. A toi, Natasha, maintenant; monte! Appuie-toi sur mon bras.»
Mais... la qualité?» Madame Papofski: «Ah! mon oncle, je ne vaux pas ma soeur; et mes enfants ne peuvent se comparer aux siens, si bons, si gentils! Natasha est si charmante! Et puis M. Jackson! quel homme admirable! Comme il parle. bien français! On ne le croirait jamais Anglais...» Mme Papofski regarda fixement son oncle, qui rougissait légèrement.
Et Natasha s'éloigna étonnée et pensive, pendant que Romane prenait sa place en face de ses amis et gardait le silence, de peur que le feltyègre n'entendît quelques mots de la conversation. Le général et Mme Dabrovine interrogeaient Romane du regard; profitant des cahots de la voiture, il réussit
La mère et la fille s'embrassèrent encore une fois, firent leur prière ensemble et s'étendirent dans leur lit; Natasha était si contente du sien et de tout leur établissement, dont elle ne pouvait se lasser, qu'elle ne put s'empêcher de se relever, d'aller embrasser sa mère, et de lui dire avec vivacité: «Comme nous sommes heureuses ici, maman. Ma chambre est si jolie! J'y suis come une reine.
La surprise de Natasha redoublait. Ses grands yeux bleus, démesurément ouverts, se portaient alternativement sur Romane, sur sa mère, sur son oncle. «Polonais! dit-elle enfin. Polonais! vous, Polonais! vous qui vous fâchiez quand on vous appelait Polonais!»
Quand il rentra, il trouva tous les enfants groupés autour de Natasha, qui leur parlait avec une grande vivacité. Il s'arrêta un instant pour considérer ce groupe composé de physionomies si diverses. Quand Natasha l'aperçut, il souriait.
Natasha se rejeta dans son coin et ne tarda pas
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