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Mis à jour: 24 juin 2025
Le général: «Il faut pourtant que les garçons sachent le latin et le grec,» Natasha, riant: «Mais vous, mon oncle, vous ne savez pas le latin ni le grec?» Le général: «C'est pourquoi je suis et serai un âne.» Natasha: «Oh! mon oncle! c'est mal ce que vous dites. Est-ce que l'empereur aurait nommé général un âne? est-ce qu'il vous aurait donné une armée
Les enfants, qui avaient fait une veillée extraordinaire et qui s'étaient amusés, éreintés, ne furent pas fâchés d'en faire autant; il était neuf heures et demie. Mme Dabrovine et Natasha ramassèrent les livres, les cahiers épars, et les rangèrent dans les armoires destinées
Natasha: «Si on lui en a fait, elle ne devrait pas y croire, vous connaissant si bonne, si franche, si serviable, si pleine de coeur.» C'est parce que tu m'aimes beaucoup que tu me juges ainsi, ma bonne fille», dit Mme Dabrovine en embrassant Natasha et en la serrant contre son coeur.
Natasha: «Eh bien, mon oncle, puisque vous voulez le savoir, c'est parce que ma tante est méchante pour mes frères, qu'elle appelle des ânes et des pauvrards; pour Jacques et Paul, qu'elle gronde sans cesse, qu'elle appelle des petits laquais, qu'elle menace de faire fouetter; pour ce bon M. Jackson, dont elle se moque, qu'elle oblige
Merci, mon oncle, lui dit Natasha
«Mon oncle, dit-elle, permettez-vous que j'aille chercher Jacques et Paul pour jouer avec nous? ils doivent avoir fini de dîner. Le général: Va, mon enfant; fais ce que tu voudras.» Natasha embrassa son oncle et partit en courant; elle ne tarda pas
Après le repas et après une promenade dans les domaines d'Elfy et de Moutier, on se dirigea vers l'auberge du Général reconnaissant. Natasha, ses frères et leurs amis couraient en avant et admirèrent avec une gaieté bruyante l'effigie rubiconde du vieux général. Toute le société entra dans la maison de Dérigny, qui avait été préparée pour recevoir le général et sa famille; les domestiques et les femmes de chambre y étaient déj
Natasha sauta de dessus sa banquette, fixa des yeux étonnés sur le prince Pajarski, qui les voyait se remplir de larmes; puis elle se détourna, cacha son visage dans ses mains et éclata en sanglots. .«Natasha, mon enfant, dit la mère en l'attirant dans ses bras, calme-toi; pourquoi ces larmes, ces sanglots?» Natasha: «Oh! maman, maman! Ce pauvre homme! Ce pauvre prince! Comme il a souffert!
Natasha les interrogea sur leur nuit; ils racontèrent leur bataille d'oreillers, dirent bonjour
«Merci, mon bon monsieur Jackson, merci; c'est vous qui m'avez fait gagner ma cause: je l'ai bien entendu. Attendez-moi tous, je reviens.» Natasha courut
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