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Mis à jour: 25 mai 2025


Les yeux fixés au sol, les faucheurs, en silence. Ont écouté la cloche invitant au repos: Puis, sous les buissons verts que la brise balance, Ils se sont endormis dans le coin d'un enclos. Dormez, ô paysans, race robuste et pure, Reposez-vous, laissez vos durs travaux des champs; Vous souffrez des saisons et chaleur et froidure... Rien n'arrête pourtant votre ardeur et vos chants.

Vos écritures prendront du temps, et je ne dormirai pas que je n'aie embrassé mes amis de Gargilesse en plein jour au sortir de vêpres, sous le porche de notre église. Je pars pour la ville ... Et si on vous arrête en chemin? On n'arrête pas sur les chemin que je connais, et que les gendarmes ne connaissent pas. J'arriverai de nuit; je me glisserai dans la cuisine du procureur du roi.

Le beau travail qu'elle a livré! Waltzing, dans son livre sur les Corporations romaines, nous a donné un pur chef-d'œuvre d'érudition, admirablement disposé et composé, sobrement écrit, rien n'arrête et ne fatigue la recherche, d'une conscience, d'une probité, d'une véracité étonnantes. De l

Il se leva, et du ton le plus bienveillant: Vous êtes venu, lui dit-il, me demander un conseil; le voici: Taisez-vous et sachez attendre. Laissez la justice et la police poursuivre leur oeuvre. On n'arrête pas comme un simple filou le puissant gredin qui a volé des millions. Quels que soient vos soupçons, cachez-les.

Cette montagne, que l'on ne voit pas et qui n'arrête pas de déverser son brouillard, on la sent peser sur soi de toute sa masse obscure. Les façades craquelées des maisons, qui s'illuminaient tantôt sous le soleil, ont pris un aspect sale et éraillé. Il fait froid.

«Que Mars en vain n'arrête point sa course: Fondez les lois dans vos pays souffrants; De votre sang ne livrez plus la source Aux rois ingrats, aux vastes conquérants. Des astres faux conjurez l'influence; Effroi d'un jour, ils pâliront demain. Peuples, formez une sainte alliance, Et donnez-vous la main

«J'espère parler aujourd'hui de M. Biard pour la dernière fois de ma vie. Ce triste farceur, dont la popularité fut un moment si grande, perd décidément sa clientèle, et n'arrête plus personne devant ses toiles. Voil

Il y a deux sortes de conversations (il y en a peut-être de plus de deux sortes), la causerie ardente, hors d'haleine, et que rien n'arrête, ou bien cette espèce de discours semblable au feu de sarment qui pétille et s'éteint dès les premières étincelles. C'est ainsi que commença notre conversation: nous voulions faire une politesse au nouveau venu, et rien de plus; quoique réunis, nous étions amoureux de silence... Il n'y a rien de plus doux! Le silence est aussi nécessaire au milieu des champs que l'air, l'ombre et le bruit des saules au-dessus de nos têtes. Ainsi les premières paroles étant échangées, il nous semblait que nous allions nous taire; mais ce n'était pas le compte de notre Parisien: il arrivait tout gonflé d'anecdotes, bourré d'histoires de toutes sortes; il en était confit, il en était truffé, il en avait une de ces indigestions contagieuses. Il fit donc avec nous le rouet pendant une heure:

En sorte, fit l'inconnu en souriant que si on n'arrête pas un autre Français, sir Cooman est capable de s'abandonner au plus affreux désespoir. Oh! très-certainement. Ah! fit cet homme. Et il but un nouveau verre de bière brune et ne se mêla plus

Il évite d'entrer dans leur pièce; il est vrai que s'il y pénètre quelquefois, la présence de cet homme digne n'arrête ni les jeux, ni les ris. Sa figure glacée ne les intimide pas plus que les mannequins dans les cerisiers n'effarouchent les oiseaux.

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