Vietnam or Thailand ? Vote for the TOP Country of the Week !
Mis à jour: 3 octobre 2025
D'Artagnan s'approche d'eux, et les voyant pâles et mourants: Consolez-vous, pauvres gens, dit-il, vous ne subirez pas le supplice affreux dont ces misérables vous menaçaient. Le roi vous a condamnés
Ceux de Paris, de même brusquement réveillés, faisaient la chasse aux Jansénistes, épiaient les mourants, ne se contentaient plus d'un billet de confession. On leur faisait subir un interrogatoire. Pour réponse ils agonisaient.
Il constata le premier effet produit. Les assaillants avaient redescendu l'escalier. Des mourants se tordaient sur les marches; le tournant de la spirale ne laissait voir que trois ou quatre degrés. L'Imânus attendit. C'est du temps de gagné, pensait-il.
Les chanteurs appuyaient sur un de ces tons bas et en quelque sorte mourants que l'oreille saisit avec tant de volupté, quand un cri qui semblait n'avoir rien d'humain ni de terrestre fut apporté par les airs, et pénétra non seulement dans les entrailles de la caverne, mais jusqu'au fond du coeur de ceux qui y étaient réunis.
Le 8 au matin, la terre était couverte de cadavres: les cipayes brûlaient leurs vêtements pour se réchauffer; les soldats anglais, mourants de froid et de faim, avaient
Dieu y tient tout entier. D'un nouveau geste, elle désigna les croix, les christs mourants, les supplices de la Passion. Et tu vis au milieu de la mort. Les herbes, les arbres, les eaux, le soleil, le ciel, tout agonise autour de toi. Non, tout revit, tout s'épure, tout remonte
Le fiacre enfila une petite rue toute pleine de charrettes d'oranges et de femmes qui, assises sur le trottoir, vendaient des biscuits dans des paniers. Il y avait je ne sais quoi de misérable et de lugubre dans cet étal en plein vent de fruits et de gâteaux, douceurs de mourants, viatiques de malades, attendus par la fièvre, espérés par l'agonie, et que des mains de travail, toutes noires, prenaient en passant pour porter
Il y avait foule, sous le porche, pour le premier rayon. Les mendiants, assis aux pieds des saints, tremblaient de froid, les uns auprès des autres, sans se parler. Ils roulaient doucement la tête, comme font les mourants. Ils se pressaient dans les coins, afin de ne rien perdre du soleil, lorsqu'il allait paraître.
L'âme rouge des tisons mourants éclairait, d'un dernier feu d'agonie, le vidame aux pieds de la marquise, authentiquement
Les trois chouans attaquaient, ivres de vengeance et de colère. Les cris et le choc des armes, le bruit des meubles brisés, celui des corps tombant lourdement sur le sol, le râle des mourants, tout cela formait un vacarme effrayant, rendu plus lugubre encore par le silence qui régnait au dehors.
Mot du Jour
D'autres à la Recherche