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Mis à jour: 29 juin 2025


La vitesse supérieure de Moro me fit bientôt prendre la tête de mes compagnons. Seul, El-Sol était encore devant moi, je le vis préparer son lasso, le lancer et donner la secousse; mais le noeud revint frapper les flancs de son cheval: il avait manqué son coup. Pendant qu'il rassemblait sa courroie, je le dépassai et je pus lire sur sa figure l'expression du chagrin et du désappointement. Mon arabe s'échauffait

À Venise, un autre ambassadeur anglais, sir Henri Wolton, avait également ordre du duc de lui acheter les plus belles toiles des maîtres de la couleur. C'est ainsi que Buckingham devint possesseur de deux Giorgion, dix-neuf Titien, deux Pordenone, deux Palma Vecchio, treize Paul Véronèse, dix-sept Tintoret, vingt et un Bassan, et six Palma jeune. À ces tableaux il faut ajouter ceux qui, ainsi que les précédents, sont indiqués dans le catalogue de la vente faite après sa mort tragique, en 1628, comme lui ayant appartenu. On y remarque trois compositions de Léonard de Vinci, une d'André del Sarto, trois de Raphaël, une de Jules Romain, deux du Corrège, deux d'Annibal Carrache, trois du Guide, neuf de Domenico Feti, huit de Holbein, six d'Antonio Moro, treize de Rubens, et beaucoup d'autres. Toutes ces peintures n'avaient pas sans doute le même mérite; mais il y avait parmi elles des toiles admirables: l'Ecce Homo du Titien, dans lequel ce maître a introduit les portraits du pape Paul III, de Charles-Quint et de Soliman, et dont le duc avait refusé sept mille livres sterling (175,000 francs), offertes par le comte d'Arundel; et le chef-d'œuvre du Corrège, Jupiter et Antiope, qu'il avait obtenu du roi d'Espagne Philippe IV, pendant sa mission en ce pays, et qui fait aujourd'hui l'un des plus précieux ornements du grand salon carré du Louvre. Rubens avait donc raison d'écrire

Mes instants étaient comptés; en un clin d'oeil j'eus je pris ma résolution. C'était d'atteindre le défilé, et de tâcher de le traverser avant que l'Indien eût le temps de descendre pour me couper le chemin. Je pressai les flancs de mon cheval. J'avançai, avec lenteur et prudence, pour deux raisons: d'abord parce que Moro n'osait pas aller plus vite, et puis, parce que j'espérais ainsi passer sans attirer l'attention de la sentinelle. Le torrent mugissait au-dessous; le bruit pouvait étouffer celui des sabots sur le roc. J'allais donc, soutenu par cet espoir. Mon oeil passait du périlleux sentier au sauvage, et du sauvage au sentier que mon cheval suivait, frissonnant de terreur. Quand j'eus marché environ vingt pas le long de la saillie, j'arrivai en vue de la plate-forme; l

Mais pourquoi donc, lui dis-je, me rappelant les circonstances de notre première entrevue; pourquoi donc étiez-vous si désireux de posséder Moro? Une fantaisie. Ne puis-je savoir pourquoi? Il me semble au fait que vous m'avez dit alors que vous ne pouviez pas me l'apprendre? Oh! si fait; je puis facilement vous le dire.

Ah! c'est toi, mon brave Moro; c'est toi, Alp, Venez! Venez! suivez-moi! descendons! descendons

Séguin, en disant ces derniers mots, indiquait Moro. Silence, continua-t-il, baissant la voix. Ssschht!

Le bruit d'un sabot de cheval sur la pierre se fit entendre auprès de moi: c'était Godé avec Moro, et, un instant après, je l'entendis enfoncer un piquet entre les pavés. Presque aussitôt, Saint-Vrain rentra. Eh bien, demandai-je, que s'est-il passé? Pas grand chose. C'est un renard qui ne s'endort jamais. Il était

Grâce soit rendue au ciel! mon brave Moro est sauvé!... Un des Mexicains a pris la pierre noire. Nous avons de la chance! s'écria un chasseur, un bon mustang bien gras vaut mieux qu'un boeuf maigre.

Come lo trono che fere lo muro, E il vento gli albor per li forti tratti: Dice lo core agli occhi, per voi moro: Gli occhi dicono al cor, tu n'hai disfatti.

Tel est le cas du magnifique palais qui longe la Calle del Moro. On franchit une porte quelconque, et l'on entre dans un jardin

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