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Mis à jour: 7 octobre 2025
Si l'innocent a eu le malheur de tomber dans le Petit-Vair grossi par l'orage, j'imagine que de Madon en Meurthe et de Meurthe en Moselle, il doit naviguer vers le Rhin, de l'autre côté des ponts de Metz... Une supposition, maintenant, que la Benjamine l'ait caché quelque part ou confié
[Note 280: BOULAY DE LA MEURTHE, le Directoire et l'expédition d'
Heureusement que les intérêts du parti de Bonaparte, dirigé par ses deux frères, ayant pour conseil Roederer, Boulay de la Meurthe et Régnier, se trouvaient d'accord sous le point de vue de la nécessite d'arrêter l'essor du mouvement législatif. Lucien se chargea des discours de tribune. En offrant quelques points d'arrêt pour l'avenir, il groupa autour de son parti les anciens Directeurs et leurs affidés, qui redoutaient d'être mis en cause. Le danger était pressant; le parti exagéré demandait l'acte d'accusation des ex-Directeurs, mesure qui pouvait atteindre ou dévoiler toutes les malversations. Aussi, vit-on naître aussitôt une forte opposition dans une partie des députés mêmes qui avaient concouru
La commission législative, intermédiaire des cinq-cents, fut successivement présidée par Lucien, Boulay de la Meurthe, Daunou, Jacqueminot; celle des anciens, par Lemercier, Lebrun, Regnier. Boulay fut depuis ministre d'état, président de la section de législation au conseil d'état.
De son côté, le plus actif et le plus adroit des conjurés, Lucien, secondé par Boulay de la Meurthe et par Régnier, se concertait avec les députés les plus influens dévoués
Cette proposition fut adoptée, et la commission composée de députés dévoués au système du directoire. C'étaient Sieyès, Poulain-Grandpré, Villers, Chazal et Boulay (de la Meurthe). On annonça pour six heures du soir un message du directoire aux deux conseils. Ce message contenait le récit de la conspiration, telle qu'elle était connue du directoire, les deux pièces fameuses dont nous avons déj
La discussion s'ouvrit d'une manière assez imposante sur la proposition de Jourdan. Deux opinions se manifestèrent: les uns voulaient que le gouvernement conservât le caractère ministériel et secret; d'autres qu'il reçût un caractère national et public. C'étaient autant de masques pour cacher le véritable secret des partis. La motion de Jourdan fut combattue avec beaucoup de talent et d'adresse par Chénier, par Lucien Bonaparte, et moins bien par Boulay de la Meurthe. Lucien déclara que l'unique moyen de surmonter la crise était dans une grande latitude de pouvoir laissée
Gohier voulut alors servir de conciliateur, mais ne put y réussir. Dans ce moment, plusieurs membres des cinq-cents et des anciens s'étant réunis, vinrent prier les deux directeurs de céder, en promettant qu'il ne serait point dirigé contre eux d'acte d'accusation. Larévellière leur répondit avec fierté qu'il n'attendait point de grâce, qu'on pouvait l'accuser, et qu'il répondrait. Les députés qui s'étaient chargés de cette mission retournèrent aux deux conseils, et y causèrent un nouveau soulèvement en rapportant ce qui s'était passé. Boulay (de la Meurthe) dénonça Larévellière, avoua sa probité, mais lui prêta mal
Toutefois Merlin et Reveillère s'obstinaient et prétendaient tenir bon dans le fauteuil directorial. Boulay de la Meurthe et les députés de sa coterie vont au Luxembourg demander impérieusement la démission des deux Directeurs. En même temps Bertrand du Calvados, au nom d'une commission des onze dont Lucien faisait partie, monte
À ce moment, comme le constate le procès-verbal, un mouvement d'enthousiasme se manifesta dans toute l'Assemblée. Les cris de «Vive l'Empereur!» retentirent avec la dernière énergie. Un grand nombre de députés élevaient leurs chapeaux, en accentuant cette ovation. La majorité demanda et obtint que cette manifestation presque unanime fût consignée au procès-verbal. Boulay de la Meurthe profita de l'émotion générale pour préciser la question. «Je crois, dit-il, qu'il n'est aucun de nous qui ne professe que Napoléon II est notre empereur; mais, hors de cette enceinte, il en est qui parlent d'une autre manière. Il n'y a pas de doute que des journalistes affectent de considérer le trône comme vacant. Or, je déclare, l'Assemblée serait perdue, la France périrait, si le fait pouvait être mis en doute. Il ne peut pas y avoir de question
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