United States or Mauritania ? Vote for the TOP Country of the Week !


Cependant son ami, M. Boulay de la Meurthe, et deux intimes du général Bonaparte, MM. Roederer et de Talleyrand, désirant maintenir la bonne harmonie entre des hommes si importants, s'employèrent activement

ROEDERER. Engage Louis XVI

Bonaparte s'arrêta, et, saisissant Roederer par le bras: Le 20 juin, dit-il, j'étais l

L'affaire, qui avait été plusieurs fois remise, semblait devoir éclater définitivement le 16 brumaire; tout était prêt le 15 au soir. Regnauld, Roederer attendaient chez le citoyen Talleyrand le mot d'ordre; mais ce mot n'arrivait pas. Comme ma position et mes goûts appelaient moins l'attention sur moi que sur les autres, et que j'avais l'habitude d'aller tous les soirs chez le général: «Pendant que nous ferons une partie de wisk, pour dérouter les gens qui pourraient survenir, vous devriez bien, me dit Regnauld, aller savoir du général si la chose tient pour demain:

Il entra aux Tuileries. C'était la seconde fois qu'il franchissait le seuil du palais des Valois, dont les voûtes avaient si mal abrité la couronne et la tête du dernier Bourbon qui y avait régné. À ses côtés marchait le citoyen Roederer. En le reconnaissant, Bonaparte tressaillit. Ah! dit-il, citoyen Roederer, vous étiez ici dans la matinée du 10 août?

En face la serre, dans la galerie de tableaux, un buffet, monté sur colonnettes de cristal, offrirait aux sportmen les plus altérés par la poussière de Longchamps une inépuisable fontaine de Roederer.

Messieurs de Ségur, de Flahaut et Roederer, s'y opposèrent et firent valoir avec force les droits de Napoléon II. «Si l'Empereur eût été tué, dirent-ils, son fils lui succéderait de droit. Il est mort politiquement; pourquoi son fils ne lui succéderait-il point? La monarchie se compose de trois branches; une de ces branches est morte, il faut la remplacer. On n'est fort que dans le cercle de ses devoirs; ne sortons point de la constitution; ne donnons pas aux étrangers le droit de nous dire: Vous n'êtes plus rien! Ils ont proclamé que Napoléon seul était un obstacle

C'était un motif de se hâter: ses frères, ses conseillers habituels, Roederer, Réal, Régnault de Saint-Jean-d'Angély, Bruix, Talleyrand, lui amenaient tous les jours des membres du parti modéré et politique dans les conseils. C'étaient, dans les cinq-cents, Boulay (de la Meurthe), Gaudin, Chazal, Cabanis, Chénier; dans les anciens, Cornudet, Lemercier, Fargues, Daunou. Leur avis

Roederer venait de parcourir les rangs de cette garnison, et de faire aux Suisses et aux gardes nationaux la proclamation légale, qui leur défendait d'attaquer, mais qui leur enjoignait de repousser la force par la force. On engagea le roi

De plus graves complots que celui dont on faisait tant de bruit, et ourdis par d'autres mains, se préparaient dans l'ombre. On en avait le vague sentiment, et on se disait que ces tentatives se renouvelleraient plus d'une fois. Ce fut pour les partisans du Premier Consul, une occasion de répéter qu'il fallait quelque chose de plus stable qu'un pouvoir éphémère, reposant sur la tête d'un seul homme, et pouvant disparaître sous le coup de poignard d'un assassin. Les frères du Premier Consul, MM. Roederer, Regnaud de Saint-Jean-d'Angely, de Talleyrand, de Fontanes, et beaucoup d'autres, étaient dans ces idées, les uns par conviction, les autres pour plaire au maître, tous, comme il arrive ordinairement, par un mélange de sentiments sincères et intéressés. Il sortit de l