Vietnam or Thailand ? Vote for the TOP Country of the Week !
Mis à jour: 25 juin 2025
La motion de Saint-Simon fut mise aux voix. Pas un seul député ministériel ne broncha; tous, comme un seul homme, votèrent la première lecture qui fut décrétée
Une immense salve d'applaudissements accueillit cette péroraison. Plusieurs orateurs vinrent appuyer la motion du colonel Hendon. Le docteur Sarrasin, ayant fait valoir alors la nécessité de constituer sans délai un Conseil de défense, chargé de prendre toutes les mesures urgentes, en s'entourant du secret indispensable aux opérations militaires, la proposition fut adoptée.
Un député, qui lui-même avait servi parmi eux, demande, pour leur honneur, qu'on formule la dénonciation, et que les coupables soient poursuivis. «Je dénoncerai, dit Mirabeau, et je signerai, si l'Assemblée déclare que la personne du roi est la seule inviolable.» C'était désigner la reine. L'Assemblée entière recula: la motion fut retirée; dans un pareil jour, elle eût provoqué un meurtre.
Oertel déclare retirer sa motion, si Vollmar veut agir conformément
Pressé de poursuivre son récit, il raconta comme quoi le capitaine Macabre avait ouvert la motion de lui faire sauter la tête sans autre cérémonie, pour l'empêcher de parler, et comme quoi les bohémiens s'étaient jetés sur lui pour lui prendre ses habits avant que son sang les eût gâtés.
Interrogé sur la connaissance qu'il a des événements du 9 au 10 [mars 1793], il répond qu'il était aux Jacobins lorsqu'on y fit la motion de se transporter en foule aux Cordeliers; qu'il s'y rendit de suite pour faire part de l'arrivée des motionnaires; que ceux-ci demandaient qu'on se saisit de tous les ennemis de la patrie, qu'on fermât les barrières, etc.; que, sur ces entrefaites, il fut question de députer vers la Commune; qu'il avait vu alors un homme inconnu qui voulait se nantir des pouvoirs de la députation, mais qu'il s'en était emparé lui-même pour éviter qu'ils ne tombassent en mauvaises mains; qu'il avait parlé au procureur de la Commune et au maire: que ce dernier l'avait engagé
La discussion s'ouvrit d'une manière assez imposante sur la proposition de Jourdan. Deux opinions se manifestèrent: les uns voulaient que le gouvernement conservât le caractère ministériel et secret; d'autres qu'il reçût un caractère national et public. C'étaient autant de masques pour cacher le véritable secret des partis. La motion de Jourdan fut combattue avec beaucoup de talent et d'adresse par Chénier, par Lucien Bonaparte, et moins bien par Boulay de la Meurthe. Lucien déclara que l'unique moyen de surmonter la crise était dans une grande latitude de pouvoir laissée
Ce fut alors que M. de La Fayette, instruit de ce qui se passait au conseil, et sûr de la majorité, fit sa motion de la permanence des Chambres, motion qui déconcerta tout le parti militaire, et, ralliant le parti patriote, lui donna une grande force morale. Attaqué par les Chambres, Napoléon n'ose prendre aucun parti; il sonde Davoust pour opérer militairement la dissolution; Davoust s'y refuse.
Le plus grand trouble se manifesta dans les rangs de la noblesse. Ses agitateurs ordinaires enflammaient ses passions; d'Espréménil proposa de décréter le tiers-état, et de le faire poursuivre par le procureur-général; la minorité proposa la réunion. Cette motion fut rejetée au milieu du tumulte. Le duc d'Orléans appuya la proposition, après avoir, la veille, promis le contraire aux Polignac . Quarante-sept membres, résolus de se réunir
Cette motion de l'abbé d'Eymar et l'accueil qui lui fut fait
Mot du Jour
D'autres à la Recherche