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Mis à jour: 15 juin 2025
Tous les chefs vendéens, d'Elbée, Bonchamps, Lescure, La Rochejaquelein, étaient réunis avec leurs forces aux environs de Cholet. Les Mayençais, qui s'étaient mis en marche le 14, s'en approchaient; la colonne de Châtillon n'en était plus qu'
Les Mayençais , au nombre de quatorze mille hommes, les troupes que le général Beysser avait
Après la prise de Montaigu, M. de Charette crut qu'il valait mieux se porter tout de suite sur Saint-Fulgent et combattre la division des Sables qui était venue par cette route: elle faisait des ravages horribles, et les habitans demandaient instamment qu'on les délivrât: il insista, et finit par gagner M. de Lescure. Ces messieurs pensèrent que l'attaque de droite suffirait pour disperser le convoi des Mayençais; ils envoyèrent un officier de l'armée de M. de Charette
Un croquis d'un bistingo de peintres, dont je n'avais pas entendu parler, quand j'ai fait MANETTE SALOMON: la maison Schumacker du quartier Pigalle. Le père, un géant mayençais, la mère, une géante ayant toujours une fluxion, et la tête embéguinée dans une fanchon, terminée par un petit nœud, ressemblant
Alors la fortune se décida pour les Mayençais. Les Vendéens se dispersèrent, emmenant néanmoins avec eux les prisonniers qu'ils avaient faits au commencement de l'action. Quatre jours après, le 18 du même mois, les bleus, marchant sur Beaupréau, entendirent tout
Ainsi, par un effort de courage et de constance, les Vendéens avaient repoussé presque en même temps six armées qui étaient venues les assaillir: malheureusement la plus redoutable était celle qui avait le moins souffert. Il fallut quelques jours de repos avant d'entreprendre rien de nouveau. MM. d'Elbée et de Bonchamps restèrent toujours postés du côté de Tiffauges, pour faire face aux Mayençais; MM. de Talmont et Stofflet gardaient l'Anjou; M. de Charette était aux Herbiers; M. de la Ville-Baugé était, depuis l'affaire de Thouars,
Le général Kléber, qui commandait les Mayençais, parvint, par son sang-froid et son habileté,
Huit mois se sont écoulés; après avoir défait six armées, pris Thouars, Saumur, Angers, battu Kléber et ses Mayençais, le peuple vendéen, décimé enfin, dans une dernière bataille,
Isnard et Vergniaud vinrent, puis Merlin de Thionville, puis Pétion, pour le délivrer. Merlin de Thionville, le futur commandant des Mayençais, celui qui, toujours debout
C'est alors qu'on put sentir la sagesse des avis de Kléber. Rossignol, dans l'un de ces généreux mouvemens dont il était capable, malgré son ressentiment contre les généraux mayençais, parut au conseil de guerre avec un papier contenant sa démission. «Je ne suis pas fait, dit-il, pour commander une armée. Qu'on me donne un bataillon, je ferai mon devoir; mais je ne puis suffire au commandement en chef. Voici donc ma démission, et, si on la refuse, on est ennemi de la république.» «Pas de démission, s'écrie Prieur de la Marne, tu es le fils aîné du comité de salut public. Nous te donnerons des généraux qui te conseilleront, et qui répondront pour toi des événemens de la guerre.» Cependant Kléber, désolé de voir l'armée aussi mal conduite, proposa un plan qui pouvait seul rétablir l'état des affaires, mais qui était bien peu approprié aux dispositions des représentans. «Il faut, leur dit-il, en laissant le généralat
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