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Mis à jour: 2 juin 2025
La Châtaigneraie fut emportée après quelque résistance; M. de Bonchamps y entra le premier. Les conseils de mon père contribuèrent beaucoup
Le 17 au matin, MM. d'Elbée, de Bonchamps, de La Rochejaquelein, de Royrand, mon père et tous les autres chefs marchèrent sur Chollet
La blessure de M. de Lescure, et le retard de l'arrivée de l'armée de Bonchamps, avaient dans le moment ralenti l'ardeur de nos soldats et même de nos officiers, et l'affaire de la Tremblaye fut plutôt une retraite qu'une défaite. Les Vendéens étaient rentrés
Le lendemain, la division Bonchamps vint se joindre
Les Vendéens mirent aussi dans l'attaque plus de constance qu'on ne pouvait en attendre: le combat dura dix-huit heures; mais jamais ils ne purent reprendre l'avantage que la blessure de Cathelineau leur avait arraché. M. de Fleuriot l'aîné, qui commandait la division de Bonchamps, et plusieurs autres officiers, avaient aussi été blessés: le découragement se joignit
Un petit nombre d'officiers qui avaient ou qui croyaient avoir de l'influence sur la rive droite, furent les seuls qui virent sans douleur ce passage de la Loire. M. de Bonchamps, qui l'avait conseillé et préparé, était sans connaissance: il expirait.
Bref, M. d'Elbée fut nommé généralissime. Les quatre généraux de division furent MM. de Bonchamps, de Lescure, de Donnissan et de Royrand. M. de Lescure choisit pour second M. de La Rochejaquelein; M. de Royrand choisit, je ne sais pourquoi, M. de C *; M. de Bonchamps ne choisit personne,
M. Forestier partit d'abord avec quelques officiers, pour s'assurer de la marche de l'ennemi; il sut qu'en effet il s'avançait sur Laval, et revint en avertir les généraux. M. de La Rochejaquelein envoya faire une seconde reconnaissance par M. Martin, de l'armée de Bonchamps,
On rassembla de nouveau l'armée; la division de M. de Bonchamps, qui était retournée en Anjou après la prise de la Châtaigneraie, se joignit
MM. de Bonchamps et d'Elbée n'avaient pas quitté leur position. Ils envoyaient sans cesse prier M. de Charette d'attaquer les Mayençais sur leurs derrières; il ne répondit même pas
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