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Mis à jour: 11 juin 2025
A Paris également, d'abord rue Pigalle, puis square d'Orléans, le pianiste poitrinaire vécut auprès de George Sand, qui remplit avec un zèle infatigable l'office de garde-malade. Un refroidissement advint, lorsqu'il crut qu'elle l'avait peint dans Lucrezia Floriani, sous les traits du prince Karol, un rêveur déséquilibré. Et Lucrezia n'était-ce pas elle-même, cette étrange femme qui a des passions de huit jours ou d'une heure toujours sincères, mère de quatre enfants issus de trois pères différents? Ainsi se résume son signalement pathologique: «Une pauvre vieille fille de théâtre comme moi, veuve de... plusieurs amants (je n'ai jamais eu la pensée d'en revoir le compte).» Chopin avait lu Lucrezia Floriani, jour après jour, sur la table de George Sand. Il ne s'alarma et ne se crut visé que lorsque l'oeuvre parut en feuilleton dans la Presse: c'était au commencement de 1847. Le roman se termine par la victoire que l'amour des enfants remporte sur l'amour des amants. Il en fut de même dans la vie réelle. A la suite d'une querelle avec Maurice qui parla de quitter la partie «cela, dit George Sand, ne pouvait pas et ne devait pas être». Chopin abandonna, en juillet 1847, la maison du square d'Orléans. Elle murmure avec mélancolie: «Il ne supporta pas mon intervention légitime et nécessaire. Il baissa la tête et prononça que je ne l'aimais plus. Quel blasphème, après ces huit années de dévouement maternel! Mais le pauvre coeur froissé n'avait pas conscience de son délire.» Et elle écrit
Enfin, il avait loué, rue Pigalle,
Un croquis d'un bistingo de peintres, dont je n'avais pas entendu parler, quand j'ai fait MANETTE SALOMON: la maison Schumacker du quartier Pigalle. Le père, un géant mayençais, la mère, une géante ayant toujours une fluxion, et la tête embéguinée dans une fanchon, terminée par un petit nœud, ressemblant
Je ne les revis pas!... J'ai tout lieu de croire qu'ils profitèrent d'un moment d'inattention de ma part pour se noyer dans le bassin de la place Pigalle! On retrouvera sans doute leurs corps dans les filets de la fontaine Saint-Georges!... Garçon!... un vulnéraire!
Bonsoir, bon vieux; aime-moi toujours comme je t'aime. Paris, janvier 1840. Mon cher vieux, Je suis enfin installée rue Pigalle, 16, depuis deux jours seulement, après avoir bisqué, ragé, pesté, juré contre les tapissiers, serruriers, etc., etc. Quelle longue, horrible, insupportable affaire que de se loger ici! Enfin, c'est terminé.
Thomire cisela lui-même la statue de Louis XIV, et, d'après l'antique, celle de Germanicus. Il reproduisit les ouvrages des célèbres Roland, Chaudet, Prudhon, Boizot, Pigalle, qui l'honoraient de leur amitié.
Pauline me quitte le 16. Maurice part le 17 pour aller chercher sa soeur, qui doit être ici le 23. Elle ira vous voir si, dans la journée du 21 (jour de sa sortie de pension et de son départ pour Nohant), elle en trouve le temps au milieu des paquets et des commissions. Comme elle sera rue Pigalle, si vous passez par l
Je l'ignore, monsieur, mais ce n'est pas moi. C'est vous, comme tout le monde, c'est la France, c'est le peuple qui sue sang et eau, qui crie dans la rue, qui insulte la statue de Pigalle. Et le parlement ne veut plus de cela; il ne veut plus de nouveaux impôts. Lorsqu'il s'agissait des frais de la guerre, notre dernier écu était prêt; nous ne songions pas
Autrefois, quand j'étais jeune, j'ai fait la connaissance de M. Beaurain dans ce pays-ci, un dimanche. Il était employé dans un magasin de mercerie; moi j'étais demoiselle dans un magasin de confections. Je me rappelle de ça comme d'hier. Je venais passer les dimanches ici, de temps en temps, avec une amie, Rose Levêque, avec qui j'habitais rue Pigalle. Rose avait un bon ami, et moi pas.
Dans un petit rez-de-chaussée bas et sombre, au milieu de verts jardinets d'hiver, cité Frochot, derrière la place Pigalle, habitait
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