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M. de Talmont, retenu

On s'était toujours bien trouvé de laisser aux républicains des moyens de retraite; jamais on ne les avait mis dans la position de vaincre ou de mourir. Il fut donc convenu au conseil de guerre qu'il n'y aurait aucune attaque par le chemin de Vannes, et qu'on y laisserait un libre passage. A deux heures de l'après-midi, on vit en effet des troupes de fuyards sortir de Nantes par cette route. M. de Talmont, emporté par trop d'ardeur et oubliant les dispositions adoptées par le conseil de guerre, se laissa aller

M. de Talmont fut nommé sur-le-champ général de cavalerie, au grand contentement du modeste M. Forestier.

Mais qu'allez-vous devenir? demandai-je. Le bon Dieu en décidera, me répondit-il avec réserve. Et allez-vous maintenant? Chez des gens que je connais devers Talmont. Je lui tendis la main. Allez donc, lui dis-je, et bonne chance! Peut-être que nous nous reverrons un jour. Il secoua la tête.

Charles, furieux, ordonna la confiscation de tous ses biens, mais le roi s'empressa de dédommager Commines, par le don de riches seigneuries; en outre des terres de Bran et Brandon, en Poitou, il lui donna la principauté de Talmont et les seigneuries de Curzon, Aulonne, Chasteau-Gontier et les Chaulmes dans le même pays.

Le prince de Talmont fut pris avec M. Bougon aux environs de Laval; on différa cruellement sa mort; on le promena de ville en ville, de prison en prison; il déploya toujours une noblesse et une fermeté dignes de sa race, et se montra fort grand au milieu des insultes des républicains. On assure qu'il répondit

M. de Talmont continua

Le prince de Talmont, second fils du duc de la Trémoille, vint

M. le prince de Talmont fut reçu avec une vive satisfaction; ou s'applaudissait d'avoir dans les rangs de l'armée un homme d'un aussi beau nom, dont la famille était depuis si long-temps presque souveraine en Poitou. Le duc de la Trémoille et la princesse de Tarente, sa belle-fille, qui était mademoiselle de Châtillon, étaient seigneurs de plus de trois cents paroisses dans cette province.

Le matin du lendemain, on répandit le bruit que MM. de Talmont, de Beauvolliers l'aîné et le curé de Saint-Laud, avaient quitté l'armée pour s'embarquer dans un bateau de pêcheur et se faire conduire