Vietnam or Thailand ? Vote for the TOP Country of the Week !

Mis à jour: 10 juin 2025


Mon père, le chevalier de Beauvolliers, MM. Desessarts, de Mondyon, de Tinguy et quelques autres, se retirèrent, après la déroute de Savenay, dans la forêt du Gâvre; ils y rencontrèrent M. Canelle, négociant nantais, qui, étant hors de la loi, se cachait aussi. Il voulut faciliter

M. de Lescure, le chevalier de Beauvolliers et le petit de Mondyon, s'étaient tellement lancés

Il fut enfin résolu qu'on marcherait sur le Mans par la Flèche. Les paysans du Maine passaient pour être royalistes; d'ailleurs, c'était se rapprocher de la Bretagne l'on pouvait encore espérer de se recruter et de se défendre. On se mit donc en marche. J'étais en voiture avec le chevalier de Beauvolliers: son frère aîné vint nous parler

Vers midi il fallut quitter Ernée et continuer le voyage; cela me parut impossible. Je voulus qu'on nous laissât, au risque de tomber entre les mains des bleus. Le chevalier de Beauvolliers demandait

Deux jours après la prise de Saumur, MM. de Beauvolliers, avec cinq ou six cents hommes, se portèrent sur Chinon, entrèrent dans la ville sans résistance; ils délivrèrent madame de Beauvolliers, que les patriotes avaient mise en prison; ils la ramenèrent

Le matin du lendemain, on répandit le bruit que MM. de Talmont, de Beauvolliers l'aîné et le curé de Saint-Laud, avaient quitté l'armée pour s'embarquer dans un bateau de pêcheur et se faire conduire

M. de Lescure se porta en avant avec le jeune Beauvolliers; il monta sur un tertre, et découvrit

Quand je voulus marcher, j'éprouvai que cela m'était comme impossible; la souffrance et la fatigue m'avaient courbée; je ne pouvais me relever. Il était nuit close. La foule et l'obscurité furent cause que, séparée de ma famille et de mes gens, le chevalier de Beauvolliers se trouva seul par hasard près de moi; il voulut essayer de me porter; mais bien qu'il fût très-robuste, il était lui-même tellement abattu, qu'il ne put y réussir. Nous arrivâmes, en nous traînant, dans la première maison de Fougères. De bons soldats qui y étaient logés, me firent chauffer, me donnèrent un peu de vin, et prirent soin de moi jusqu'au moment une voiture, envoyée par ma mère, vint me prendre et me conduire au logement qu'elle avait dans la ville. J'y trouvai un lit préparé: on voulut me faire coucher. Je me mis auprès du feu, sans rien dire. Je demandais, de temps en temps, si la voiture de M. de Lescure arrivait. Quand je l'entendis, je fis sortir tout le monde, et je demandai au chevalier de Beauvolliers de remplir sa promesse; lui seul alors et moi nous ignorions que c'en était fait. Il sortit; un instant après il rentra baigné de larmes, me prit les mains, et me dit qu'il fallait songer

Beaucoup d'autres furent moins heureux, et ont péri, soit sur l'échafaud, soit dans la retraite, sans que j'aie pu savoir les circonstances de leur mort. MM. de la Marsonnière, Durivault, de Pérault, d'Isigny, de Marsanges, de Villeneuve, Lamothe, Desnoues, le dernier frère Beauvolliers, etc., finirent ainsi.

Il fallait aussi nommer un trésorier-général de l'armée, qui devait être en même temps intendant des vivres, de concert avec le conseil supérieur. On pria M. de Beauvolliers l'aîné d'accepter ces fonctions dont il était plus capable que tout autre. Le bien de l'armée le détermina

Mot du Jour

detto

D'autres à la Recherche