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Mis à jour: 6 juillet 2025
En me promenant avec lui dans ses jardins, j'aperçus de loin une statue de marbre; je lui demandai ce que c'étoit. «C'est, me dit-il, ce que je n'ai plus le courage de regarder »; et, en nous détournant: «Ah! Marmontel, si vous saviez avec quel zèle je l'ai servi! si vous saviez combien de fois il m'avoit assuré que nous passerions notre vie ensemble, et que je n'avois pas au monde un meilleur ami que lui! Voil
Nous pourrions de même montrer aisément comme il est méprisant pour un Mercadante, pour un Paccini, pour un Donizetti, «ce Marmontel, sans aucune espèce de talent...»
Au travers de tout cela, Marmontel nous donnait des contes, qu'il appelait Moraux, non pas (dit un littérateur estimable) qu'ils enseignassent la morale, mais parce qu'ils peignaient nos moeurs; cependant un peu trop dans le genre maniéré de Marivaux; d'ailleurs que sont ces contes? des puérilités, uniquement écrites pour les femmes et pour les enfants et qu'on ne croira jamais de la même main que Bélisaire, ouvrage qui suffisait seul
Ce que c'est que la mort, comme cela vous transforme le caractère! et que Marmontel a eu raison de dire dans son opéra de Zémire et Azor: Les esprits, dont on nous fait peur, Sont les meilleures gens du monde. Il en est ainsi. Je vous ai déj
Chateaubriand dit qu'Atala «sort de toutes les routes connues». Il faut s'entendre. L'histoire d'Atala n'est peut-être pas, en soi, une merveille d'invention. Dans les ennuyeux Incas de Marmontel, aux chapitres XXVII et XXVIII, l'Espagnol Alonzo s'éprend de Cora, l'une des vierges sacrées qui vivent dans le temple du soleil. Et Cora aime aussi Alonzo. Alonzo enlève Cora
J'ai lu en entier les Mémoires de Marmontel. Il n'y a guère que les deux premiers volumes qui répondent
Dans la partie qui concerne Marmontel, et qui, seule, constitue proprement ses Mémoires, deux sentiments distincts m'ont frappé, et je les ai conservés après la lecture: le premier, c'est que l'auteur a su rendre la pauvreté aimable, intéressante, noble, en lui donnant de l'esprit et de l'âme, et le second, c'est qu'il rend la grandeur parfaitement ridicule et méprisable quand il la trouve sans moeurs, sans raison, sans esprit.
Jamais elle ne mettait de bouquets dans un panier verni pour les porter au château, avec des pommes, des oeufs et de la crème, comme cela se pratique de nos jours au théâtre de l'Opéra-Comique. Elle ne dansait ni sur la fougère ni même sous la coudrette; en un mot, ce n'était en aucune façon une rosière de Mme de Genlis, se mirant dans le cristal des fontaines, ni une ingénue de M. Marmontel, raisonnant l'Être suprême, la nature et le reste. Ces braves poètes n'ont jamais vu la campagne qu'
«Marmontel ne consulte les bienséances que pour lui-même, lui dit le prince; mais il ne me convient pas
Oui, Marmontel a bien écrit ces lignes, mais il déclare aussi que Bizet était malade avant les répétitions de Carmen, et voici le portrait que, finalement, il trace de lui: «Tous ceux qui ont connu Bizet rendront comme nous témoignage des nobles et généreuses qualités de son cœur, de l'élévation et de la délicatesse de ses sentiments. D'un jugement sain et droit, et d'une conscience rigide, G. Bizet ignorait les compromis; il avait au suprême degré le sentiment du juste et l'horreur de l'intrigue... Bizet était bon, généreux, dévoué, fidèle
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