Vietnam or Thailand ? Vote for the TOP Country of the Week !

Mis à jour: 6 juillet 2025


Et maintenant, écoutons Rousseau, puis Marmontel, puis Diderot.

Un soir qu'elle venoit de quitter ma voisine, je fus surpris d'entendre celle-ci me dire: «Eh bien, Marmontel, vous n'avez jamais voulu me nommer l'auteur de la parodie de Cinna; je le connois enfin»; et elle me nomma Cury (alors Cury, sa mère et son fils, étoient morts). «Et qui vous l'a dit? lui demandai-je avec surprise. Une personne qui le sait bien, la duchesse de Villeroi. Elle sort d'ici, et vous avez été l'objet de sa visite. Son père demande

La réponse de Marmontel est une réfutation sensée et un peu superficielle, un morceau d'honnête professeur. Mais la réponse de d'Alembert est distinguée et fine, et pleine de ces malices sournoises qu'on appelle aujourd'hui des «rosseries». Ce n'est pas mon objet de les recueillir. J'en veux pourtant citer une, atroce, celle-l

L'essentiel était que le public n'entendît trop les cris de la Valois. On la tenait dans la Bastille, sous la griffe de Delaunay, l'excellent gouverneur, le client des Rohan, qui savait comme on peut faire taire un prisonnier. On a fait de nos jours des idylles sur la Bastille. Dans la réalité, elle était douce aux gens qu'on ménageait (la Staal, Marmontel, etc.); mais pour d'autres, terrible. Sans croire aux in pace qu'on se figura voir dans l'épaisseur des murs, elle avait très-certainement au plus bas d'horribles cachots, boueux, l'eau entrait, et les rats d'eau, féroces, friands de nez, d'oreilles. La Bastille (comme le fort de Brest et tant d'autres prisons) avait ses légendes trop vraies, de prisonniers mangés, du moins attaqués jour et nuit, mordus et mutilés. Grand moyen de terreur. Pour n'être pas mis l

Oui, mon cher monsieur Marmontel, me dit l'archevêque, sur bien des points j'ai été content de votre bonne foi et de votre docilité; mais il y a un article sur lequel j'exige de vous une rétractation authentique et formelle: c'est celui de la tolérance. Si Monseigneur veut bien, lui dis-je, jeter les yeux sur quelques lignes que j'ai écrites ce matin, il y verra nettement expliquée quelle est,

Leurs ouvrages, qu'on leur permit de lire eux-mêmes, furent très-applaudis; mais il n'en fut pas ainsi du rapport lu par Marmontel sur les pièces envoyées au concours. Les doctrines qu'il y professait, et surtout les formes dans lesquelles il exprima son jugement sur une églogue intitulée le Patriarche, ne lui concilièrent pas le suffrage de tout l'auditoire,

J'ai remarqué avec plaisir que Marmontel, en parlant mal de la Révolution, même en plaidant pour la liberté du culte catholique, avait été conséquent; qu'il n'avait rétracté ni eu besoin de rétracter les principes de sa philosophie pour se déchaîner contre les horreurs commises par des scélérats qui n'avaient pas plus de rapport avec la philosophie qu'avec l'

Il voulait, de plus, que le théâtre fût moralisateur. En cela il était dans la tradition du théâtre français et surtout de la critique dramatique française. Sur ce point, l'indépendant Diderot est d'accord avec Scaliger, avec Dacier, avec l'abbé d'Aubignac, avec Marmontel et avec Voltaire. Il n'est guère, du XVIe siècle au XIXe, de théoricien dramatique qui n'ait vivement insisté sur la nécessité de moraliser le théâtre, et de moraliser du haut du théâtre. Seulement au XVIIIe siècle ce penchant fut plus fort que jamais. Et il était mêlé de bon et de mauvais, comme la plupart des penchants. D'un côté, l'idée de remplacer les prédicateurs chatouillait l'amour-propre des philosophes; d'autre part, ils sentaient bien, ce qui leur fait honneur, que la direction morale, qui autrefois venait de la religion, commençant

Jean-François Marmontel,

Les deux jolis yeux étaient ouverts tous deux, puis se fermaient longtemps sur le livre (c'était les Mariages samnités de Marmontel, livre traduit dans toutes les langues, comme l'assure l'auteur). Les deux beaux yeux se fermaient donc fort longtemps de suite, et puis se rouvraient languissamment en se portant sur la douce lumière bleue de la chambre; les paupières étaient légèrement gonflées et plus légèrement teintes de rose, soit sommeil, soit fatigue d'avoir lu au moins trois pages de suite; car, de larmes, on sait que mademoiselle de Coulanges n'en versa qu'une dans sa vie, ce fut quand sa chatte Zulmé reçut un coup de pied de de brutal M. Dorat de Cubières, vrai dragon s'il en fût, qui ne mettait jamais de mouches sur ses joues, tant il était soldatesque, et frappait tous les meubles avec son épée d'acier, au lieu de porter une excuse

Mot du Jour

féistes

D'autres à la Recherche