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Mis à jour: 1 juin 2025


L'auteur décrit d'abord le cours de la Seine avant son arrivée au château de Marly. Au moment le fleuve se resserre par suite des travaux d'endiguement, il décrit ainsi la machine: Mais enfin son penchant lui faisant violence, L'entraîne dans ce lieu, malgré sa résistance, Et fait voir

Il me semble la voir encore, continua la marchande; elle était accotée sur le comptoir près des balances; elle plaisantait avec un pêcheur de Marly, le père Husson, qui peut vous le répéter, et elle l'appelait marin d'eau douce. «Mon mari

Et, en effet, en 1791, la France avait paru au monde rajeunie et épurée; elle semblait dater de l'avènement au trône de Louis XVI et avoir jeté aux égouts de Marly sa robe souillée par Louis XV.

Elle m'établit dans un corps de logis, situé derrière la machine de Marly, dont le bruit lamentable m'ennuyait fort. Dessous mon appartement, se trouvait une galerie fort peu soignée, dans laquelle étaient placés, sans ordre, des bustes, des vases, des colonnes, des marbres les plus rares et une quantité d'autres objets précieux; en sorte qu'on aurait pu se croire chez la maîtresse de plusieurs souverains, qui tous l'avaient enrichie de leurs dons. Ces restes de magnificence contrastaient avec la simplicité qu'avait adoptée la maîtresse de la maison, et dans sa toilette, et dans sa façon de vivre. L'été comme l'hiver, madame Dubarry ne portait plus que des robes-peignoirs de percale ou de mousseline blanche, et tous les jours, quelque temps qu'il fît, elle se promenait dans son parc ou dehors, sans qu'il en résultât aucun inconvénient pour elle, tant le séjour de la campagne avait rendu sa santé robuste. Elle n'avait conservé aucune relation avec la nombreuse cour qui pendant longtemps l'avait entourée. L'ambassadrice de Portugal, la belle madame de Sousa, et la marquise de Brunoy étaient, je crois, les deux seules femmes qu'elle vît alors, et durant mes séjours chez elle, que j'ai faits

Le premier consul sortit un jour de grand matin, vêtu de sa redingote grise et accompagné du général Duroc, pour se promener du côté de la machine de Marly. Comme ils marchaient en causant, ils virent un laboureur qui traçait un sillon en venant de leur côté. Dites donc, mon brave homme (dit le premier consul en s'arrêtant), votre sillon n'est pas droit, vous ne savez donc pas votre métier? Ce n'est toujours pas vous, mes beaux messieurs, qui me l'apprendrez; vous seriez encore assez embarrassés pour en faire autant. Parbleu non! Vous croyez: eh bien! essayez, reprit le brave homme en cédant sa place au premier consul. Celui-ci prit le manche de la charrue, et, poussant les chevaux, voulut commencer la leçon; mais il ne fit pas un seul pas en droite ligne, tant il s'y prenait mal. Allons, allons, dit le paysan en mettant sa main sur celle du général, pour reprendre sa charrue, votre besogne ne vaut rien: chacun son métier; promenez-vous, c'est votre affaire. Mais le premier consul ne continua pas sa promenade sans payer la leçon de morale qu'il venait de recevoir du laboureur: le général Duroc lui remit deux ou trois louis pour le dédommager de la perte de temps qu'on lui avait causée. Le paysan, étonné de cette générosité, quitte sa charrue pour aller conter son aventure, et rencontre en chemin une femme

Un, garde du corps avait été massacré sous sa fenêtre, celle d'un entresol fort bas; son saisissement avait été tel que ses douleurs cessèrent, comme si elle n'eût jamais accoucher. Elle se dirigea sur Paris en passant par Marly, et accoucha trois jours après seulement de sa fille Rosamonde, depuis Mme Gérard.

Marly avait été jusqu'alors le palais d'été de la cour de France. Mais Marly, c'était Versailles encore. La royauté y demeurait en représentation. Jusqu'

Ennui de Marly. Le petit Trianon. La vie au petit Trianon. Le palais, les appartements, le mobilier. Le jardin français, la salle des fraîcheurs. Le jardin anglais, le pavillon du Belvédère, le hameau, etc. La société de la Reine au petit Trianon. Le baron de Besenval, le comte de Vaudreuil, M. d'Adhémar. Les femmes. Diane de Polignac. Caractère de l'esprit de la Reine.

M. de l'Isle insista sur la superbe situation de l'endroit choisi par la marquise de Pompadour. Il jeta un regard circulaire: Ce sera plus beau que des belvédères dans les jardins hauts de Marly. Il ajouta: Nous ferons d'ailleurs mieux qu'

Quel est le véritable inventeur de la machine de Marly? On sait que, d'après toutes les histoires et biographies, cet inventeur serait un ouvrier liégeois, Rennequin Sualem. L'ouvrage de M. Le Roi nous démontre, d'après des documents authentiques et des témoignages irréfutables, que c'est une erreur. L'inventeur, l'architecte, le gouverneur de la machine qui passait au dix-septième siècle pour une merveille du monde, est un gentilhomme liégeois nommé le chevalier de Ville; Rennequin Sualem en aurait été seulement le constructeur, et plus exactement le charpentier. M. Le Roi donne

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