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Mis à jour: 1 juin 2025


Si je te connais, lui dis-je? Une ombre, une dame errante, une aventure, une habitante de Luciennes ou de Marly, une bergère de Boucher, une pampine de Clodion, une houlette, un jupon court, tout vice et tout sourire... un piége l'on tombe, une imprudence, et très-jolie,

Il n'existe peut-être pas de machine qui ait eu une réputation aussi colossale que l'ancienne machine de Marly. Son aspect gigantesque, sa complication apparente, le bruit extraordinaire produit par son mécanisme que l'on entendait d'une distance considérable, cette masse de charpentes et de chaînes de fer se mouvant continuellement depuis le bord de la Seine jusqu'au haut de la montagne de Louveciennes, tout enfin dans cette immense machine était fait pour étonner les regards et frapper l'imagination de la foule. Il semble que l'auteur d'un si étonnant travail n'a pu rester inconnu, et cependant, même aujourd'hui, l'on discute encore pour savoir qui il est. Ce fait, qui paraît extraordinaire, s'explique naturellement par l'usage l'on était, sous Louis XIV, de faire tout au nom du roi ou de ses ministres, et de placer ainsi dans l'ombre et au rang de simples employés des bâtiments les véritables auteurs de la plupart des merveilles exécutées sous le règne du grand roi. Que l'on demande en effet aux historiens

La Gazette de France de 1682 indique les travaux de la machine comme faits par le sieur de Ville, gentilhomme liégeois. La Chesnaye-Desbois, dans son Dictionnaire de la noblesse, et le père Anselme, dans l'Histoire généalogique de France, disent, en parlant de sa fille qui avait épousé le baron de Montmorency: «Elle était fille d'Arnold de Ville, chevalier, etc., gouverneur et directeur de la machine de Marly, dont il était l'inventeurLe duc de Luynes, dans ses Mémoires, cite aussi de Ville comme l'auteur de la machine. Ceux qui étaient plus

Pour les voyages, les usages variaient selon les résidences. À Rambouillet, le Roi n'allait que pour peu de jours et seulement avec des hommes, on était reçu comme chez un riche particulier, parfaitement servi et défrayé de tout. À Trianon, la Reine n'a fait aussi que de rares et courts voyages, avec très peu de monde, c'était de même. À Marly, on était logé, meublé et nourri. Les invités

Après cette description, le poëte la fait arriver dans les jardins de Marly, , brillant d'un nouvel éclat, elle concourt

Avec quelle tristesse, après trois ans, on parcourt les rues désertes de cette petite ville, qui respirait autrefois la gaîté, cette gaîté parisienne et bonne fille du temps des grisettes et des chansons! Tout est poussière. Saint-Cloud est rasé comme autrefois Marly. Montretout n'est plus que ruines. La maison Gounod chantait est un nid de débris. Cette petite demeure

[Note c: Philippe de Mornay, Sieur du Plessis Marly, de la Vérité de la Religion Chrétienne, contre les Athées,

A peine habillé, il sortait par un escalier dérobé dans la cour de marbre pour monter en carrosse, et, dans le trajet, aller et retour, lui parlait qui voulait. Il aimait le grand air; il ne redoutait ni le froid ni la chaleur. Il sortait même par la pluie, et sa grande joie était de chasser dans les forêts de Versailles, de Marly ou de Fontainebleau.

Au bout d'une heure que je me promenais des chevaux de Marly au rond-point et du rond-point aux chevaux de Marly, je vis de loin la voiture de Marguerite; je ne la reconnus pas, je la devinai. Au moment de tourner l'angle des Champs-

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