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Mis à jour: 16 juin 2025
Mack, qui, en effet, n'avait pas compris et qui attendait, l'épée
Tandis que Championnet se retirait sagement, et évacuait Rome, en laissant huit cents hommes dans le château Saint-Ange, Mack s'avançait fièrement sur toutes les routes, et semblait ne pouvoir trouver de résistance. Il arriva aux portes de Rome le 9 frimaire an VII (29 novembre 1798), et y entra sans obstacle. On avait préparé au roi une réception triomphale. Ce pauvre prince, traité en conquérant et en libérateur, fut enivré de l'espèce de gloire militaire qu'on lui avait apprêtée. Du reste, on lui conseillait un noble usage de la victoire, et il invita le pape
Je n'en ai besoin que de 60,000, sire, dit Mack; mes calculs sont établis sur ce chiffre, et Votre Majesté aurait 100,000 hommes, que je ne lui prendrais pas un tambour de plus; d'ailleurs, j'ai les renseignements les plus exacts sur le nombre des Français, ils ont
Le général Mack ayant traversé en poste la Bavière pour retourner
Comment! vous croyez que les dix mille Français de M. Championnet peuvent vaincre soixante mille Napolitains commandés par le général Mack, qui passe pour le premier stratégiste de l'Europe?
Mack salua le roi et mit son cheval au galop, reprenant la route par laquelle il était venu. Et toi, murmura le roi en enfonçant les éperons dans le ventre de son cheval et en le lançant
Notre mouvement fut ignoré par Mack, ou il n'en eut qu'une faible idée. Cependant il lui était facile de faire explorer l'Allemagne par ses officiers. Il ne voulut croire
Mack fut traité par le général français comme un hôte et non comme un prisonnier. Dès le lendemain de son arrivée sous sa tente, il lui donna un passeport pour Milan, en le mettant
«Ce n'est pas mon opinion; je suis convaincu, au contraire, en me fondant sur la lettre dont m'a honoré S. A. I. l'archiduc Ferdinand, que l'armée autrichienne, commandée par un général aussi expérimenté que le général Mack, est en ce moment victorieuse et que vous n'avez plus besoin de notre concours.» L'Autrichien maîtrisa avec peine une explosion de colère.
Le prince de Cobourg et le colonel Mack, dont il était devenu l'ami, le traitèrent avec beaucoup d'égards, et on voulut renouveler avec lui les projets de la veille, en le faisant le chef d'une nouvelle émigration qui serait autre que celle de Coblentz. Mais après deux jours, il dit au prince autrichien que c'était avec les soldats de la France, et en acceptant les Impériaux seulement comme auxiliaires, qu'il avait cru exécuter ses projets contre Paris; mais que sa qualité de Français ne lui permettait pas de marcher
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