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Mis à jour: 21 juin 2025


Possible que le dict duc est meu

Corsaires. Naviguèrent. Quant il sot la raison pourquoy il estoient venus, il fu meu ainsi comme de pitié; premièrement pour la mésaise de la crestienté, et pour le dommage et pour le péril de la saincte terre. En pou de temps après assembla concile général en la cité de Paris de tous les prélas du royaume de France. Quant tous furent assemblés, la besoingne Nostre-Seigneur fu devant tous proposée. Lors commanda le roy

Le mallorquin, surtout dans la bouche des femmes, a pour l'oreille des étrangers une charme particulier de suavité et de grâce. Lorsqu'une Mallorquine vous dit des paroles d'adieu, si doucement mélodieuses: «Bona nit tengua! es meu na basta per di ti: Adios!» «Bonne nuit! mon cœur ne suffit pas

Car oncques le Renard ne changea sa nature Et de garder la foy l'homme double n'eut cure, Ceci n'a pas long temps se conut par effect Aux depens de celui qui me donne sujet De dire qui a meu Membertou & sa suite De faire pour sa mort si sanglante poursuite. Ce fut Panoniac (car tel estoit son nom) Sauvage entre les siens jadis de grand renom. Cetui cuidant avoir faite bonne alliance Avecques ces mechans, alloit sans deffiance Parmi eux conversant: mémes il les aidoit Bien souvent du plus beau des biens qu'il possedoit. Mais pour cela la gent

Suivant donc que Mathurine fut interrogée si monsieur de Bassompierre seroit mareschal, il faut croire qu'elle degoisa de luy plusieurs discours, et les causes qui avoient meu le roy de le qualifier de ce grade honorable: premièrement, que ses perfections y avoient fort operé, et puis ses agreables services, notamment ceux qu'il avoit rendus

Le dict comte a répliqué qu'il avoit esté meu d'une singulière et très dévotte affection de vray et fidelle vassal et serviteur, et encores de conseiller très affectionné au bien, au repos et

77 page 203 Ils se dirent avec le poète du douzième siècle... Rob. Wace, Roman de Rou, vers 5979-6038: Li païsan e li vilain Cil del boscage et cil del plain, Ne sai par kel entichement, Ne ki les meu primierement; Par vinz, par trentaines, par cenz Unt tenuz plusurs parlemenz... Privéement ont porparlè E plusurs l'ont entre els juré Ke jamez, par lur volonté, N'arunt seingnur ne avoé.

Après entente avec la Ligue parisienne, les princes catholiques datèrent de Péronne, le berceau de la Ligue de 1576, une Déclaration des causes qui ont «meu Monseigneur le Cardinal de Bourbon, et les Pairs, Princes, Seigneurs, villes et communautez Catholiques de ce royaume de France, De s'opposer

Car le renart ne changea sa nature, Et de garder la foy l'homme double n'eut cure, Cecy n'a pu long temps je cogneut par effect Au depens de celuy qui me donne sujet De dire qui a meu Membertou & sa suite De faire pour sa mort si sanglante poursuite. Ce fut Panoniac (car tel estoit son nom) Sauvage entre les siens jadis de grand renom. Cestuy cuidant avoir fait bonne alliance Avecque ces mechans, alloit sans deffiance Parmi eux conversant; mesme il les aidoit Bien souvent du plus beau des biens qu'il possedoit, Mais pour cela la gent

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