Vietnam or Thailand ? Vote for the TOP Country of the Week !

Mis à jour: 19 juillet 2025


Le vieux poème de Rou paraît au douzième siècle avec Abailard; au dix-septième siècle, Corneille avec Descartes. Pourtant, je ne sais pourquoi la grande et féconde idéalité est refusée au génie normand. Il se dresse haut, mais tombe vite. Il tombe dans l'indigente correction de Malherbe, dans la sécheresse de Mézeray, dans les ingénieuses recherches de la Bruyère et de Fontenelle.

«Coupé moâ, Isidore, criait-il, vite, coupé moâIsidore pensa un moment que son maître, atteint d'aliénation mentale, lui disait de lui couper la gorge. Les moustaches.... moâ vouloar descendre dans le rou.... coupé les moustaches.... rasé viteSon français se pressait avec assez de rapidité sur ses lèvres, mais il était en révolte constante avec la grammaire.

77 page 203 Ils se dirent avec le poète du douzième siècle... Rob. Wace, Roman de Rou, vers 5979-6038: Li païsan e li vilain Cil del boscage et cil del plain, Ne sai par kel entichement, Ne ki les meu primierement; Par vinz, par trentaines, par cenz Unt tenuz plusurs parlemenz... Privéement ont porparlè E plusurs l'ont entre els juré Ke jamez, par lur volonté, N'arunt seingnur ne avoé.

La légende de saint Rou. Rennes, Simon, 1894, in-18. L'ancienne paroisse de Carentoir. Vannes, Lafolye, 1895, in-8. OG

Les incursions de ces brigands du Nord (Northmen) étaient fort différentes des grandes migrations germaniques qui avaient eu lieu du quatrième au sixième siècle. Les barbares de cette première époque, qui occupèrent la rive gauche du Rhin, ou qui s'établirent en Angleterre, y ont laissé leur langue. La petite colonie des Saxons de Bayeux a gardé la sienne au moins cinq cents ans. Au contraire, les Northmen du neuvième et du dixième siècle ont adopté la langue des peuples chez lesquels ils s'établirent. Leurs rois, Rou, de Russie et de France (Ru-Rik, Rollon), n'ont point introduit dans leur patrie nouvelle l'idiome germanique. Cette différence essentielle entre les deux époques des invasions me porterait

F.... dit Brulart. Vienge par mer al duc den k'il ara boen vent: Tôt sa navie amaint, si n'i demort noient. ROBERT WACE . Roman du Rou et des ducs de Normandie. LA FR

Ces libertés de la Bastille dont parle Pellisson n'étaient pas une plaisanterie: Jean Rou, détenu

Véné mainténant, continua-t-il, souivé moâ, allé, partons dans la rou. Après s'être assuré d'une escorte, il descendit l'escalier sur la pointe du pied, comme pour ne pas donner l'éveil, et se trouva enfin dans la rue.

Il fut d'abord repoussé avec de grandes pertes par le pacha El Hadj Allai, commandant militaire de la casbah. Mais, quelques jours après, grâce aux cavaliers de Rou Amama, il fut vainqueur de la mahalla d'Oudjda et prit sa revanche sur les troupes du pacha, qu'il battit complètement dans la plaine des Triffas.

Dans les Mémoires dont nous venons de citer quelques extraits, Jean Rou parle de Bessemaux ou Bezemaux, gouverneur de la Bastille (p. 85):... «Je lui dis (au sous-lieutenant de la Bastille qui venait lui annoncer sa mise en liberté) que puisqu'on me chassoit, je ferais comme j'en avois toujours usé, depuis que j'étois au lieu nous nous trouvions, savoir, que je n'y avois jamais appris qu'

Mot du Jour

offero

D'autres à la Recherche