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Pour l’Angleterre enfin : le major Donellan et son secrétaire Dean Toodrink. Ces derniers représentaient

Ils les appellent bow-window et les construisent souvent en encorbellement. Cette loge saillante portée sur un cul-de-lampe est terminée par un petit terrasson qui forme balcon au premier étage. Remarquez, en passant, comme cette construction est bien entendue. Cette partie de l’Angleterre possède de la pierre, mais cependant les matériaux sont moins communs que n’est la brique.

Enfin, jamais, non jamais! l’Angleterre ne consentirait

Restaient donc en présence l’Angleterre, le Danemark, la Suède-Norvège, la Hollande, la Russie, qui allaient être admises

Toutefois, une objection ou plutôt une explication fut nécessaire, et Jacques Jansen interpréta les sentiments de ses collègues, lorsqu’il dit : « Et après?… » Oui!… Après l’acquisition faite par le syndicat? « Mais il me semble que l’Angleterre!… dit le major d’un ton raide..

Ceux-ci n’avaient d’espoir qu’en lui pour empêcher que la propriété du Pôle nord échappât aux Puissances européennes. Mais cet effort fut le dernier. Le major ouvrit la bouche, la referma, et, en sa personne, l’Angleterre s’affaissa sur son banc. « Adjugé! cria Andrew Gilmour, en frappant la table du bout de son marteau d’ivoire.

« Oui! sans doute, répondit le grand géographe anglais Kliptringan, dans un article du Times, qui fit sensation, oui! les Suédois, les Danois, les Hollandais, les Russes et les Américains peuvent se prévaloir de leurs droits. Mais l’Angleterre ne saurait, sans déchoir, laisser ce domaine lui échapper. La partie nord du nouveau continent ne lui appartient-elle pas déj

Et pourtant, l’extraction du charbon, dont l’Angleterre produit

Quelques mois seulement après l’ouvrage de Fauriel parurent les Ballades, légendes et chants populaires de l’Angleterre et de l’Ecosse, par sir Walter Scott, Thomas Moore, Campbell, etc., traduits par A. Loève-Veimars (Paris, 1825, in-8°, pp. 413). Cette traduction, faite en prose, obtint un très grand succès. Le Globe, après avoir fait certaines réserves sur le choix des morceaux, loua le recueil «qui nous révèle un genre de poésie anglaise peu connu encore chez nous, et qui contient des pièces de grande originalité ». Et, dans les Annales de la littérature et des arts, Edmond Géraud ne proposait rien moins que de faire pour la France un recueil de même nature: C’est surtout en lisant cette collection de ballades étrangères, disait-il, que nous avons regretté plus d’une fois qu’il ne soit tombé dans la pensée d’aucun homme de goût de faire aussi quelques voyages