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Mis à jour: 13 juin 2025


Et, comme tous les flatteurs s'extasiaient et riaient, le roi continua: Est-ce que la galanterie n'a pas toujours été et ne sera pas toujours? Voyez mesdames de Châtillon, de Ludre, de Soubise, de Luynes, de Vitry, de Monaco, de Vivonne, de Soissons, de Pons, d'Humières, etc., etc., etc. La litanie eût pu durer encore, car toute la cour suivait les exemples du maître.

Angélique de Bournonville, fille du prince de Bournonville, comte d'Hénin, épousa en 1706 Jean-Baptiste de Durfort, duc de Duras, maréchal de France. Elle fut dame d'honneur de Mesdames, filles de Louis XV, et mourut en 1764. Marie Brûlart de la Borde, fille d'un premier président au parlement de Dijon, épousa en deuxièmes noces, en 1732, Philippe d'Albert, duc de Luynes.

Caroline du Theil, fille d'un riche banquier de Paris, était venue passer une partie de l'été chez sa jeune amie Paméla de Méricourt, dont la mère, veuve d'un receveur général, possédait un vaste et beau domaine sur la rive droite de la Loire, entre Luynes et Langeais, presque en face de l'île Berthenay, si remarquable par sa fertilité, se trouvant

Ainsi troublé, indécis, en 1737 et 1738, entre la reine et la Mailly, seul en réalité, il eut des échappées sauvages et de hasard, non sans danger pour sa santé. D'ennui, d'épuisement ou d'autre cause, il fut malade (février 1738), et juste au même mois Fleury, très-malade aussi, semblait près de s'éteindre. La nuit du 20, celui-ci appela son vieux valet Barjac, et lui dit: «Je me meurs! (Luynes, II, 41).» Grande agitation dans Versailles. Que serait-ce si tout

Moins absorbée par la situation de sa belle-fille, la duchesse de Luynes eût été pour Mme Récamier une société aussi agréable que sûre. Elle avait un esprit très-original et parfaitement naturel. Ses traits durs et irréguliers étaient masculins, comme le son de sa voix. Lorsqu'elle portait des vêtements de femme (ce qui n'arrivait pas tous les jours), elle endossait une sorte de costume qui n'était ni celui qu'elle avait porter dans sa jeunesse avant la Révolution, ni celui que la mode avait introduit sous l'empire: il se composait d'une robe très-ample

M. de Luynes est mort, en effet, de la fièvre rouge, le 15 de ce mois, pendant que les troupes du roi pillaient et brûlaient la pauvre place de Monheur, sur la Garonne. Voici une lettre de mon père qui me l'annonce, et qu'un de ses gens, arrivé en courrier justement derrière la suite du prince, a pu me faire remettre sans bruit par Clindor.

Quand M. de Luynes entreprit la guerre contre les huguenots, M. de La Force se déclara pour eux. Théobon tenoit Sainte-Foy. Durant ces guerres on ôta le Béarn

Nous avons d'abord, comme vous le savez sans doute, M. le prince de Conti, M. le duc de Longueville, M. le duc de Beaufort, M. le duc d'Elbeuf, le duc de Bouillon, le duc de Chevreuse, M. de Brissac, le maréchal de La Mothe, M. de Luynes, le marquis de Vitry, le prince de Marcillac, le marquis de Noirmoutiers, le comte de Fiesque, le marquis de Laigues, le comte de Montrésor, le marquis de Sévigné, que sais-je encore, moi.

Illusions, dévouements, espérances, partis, la Reine ralliait donc autour d'elle trop de forces et trop de projets pour que la Révolution n'en prît pas ombrage, comme du seul grand obstacle de son avenir. Il était urgent que la Reine disparût pour que le chemin fût libre. «La grande dame devait s'en aller, si elle ne préférait pistel était le langage des membres de la Constituante dans les salons de Paris ; tel était l'avertissement officieux que lui faisaient donner les constitutionnels par l'entremise de la duchesse de Luynes . Mais la Reine ne voulant pas se sauver, la Reine résolue

Cette jeune femme possédait sans doute des qualités précieuses, car elle avait beaucoup d'amis. On connaît le dévoûment de sa belle-mère, la duchesse de Luynes, qui la suivait partout dans son exil. Je ne l'ai vue que dans le monde,

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