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Mis à jour: 24 juillet 2025


Cet homme était pauvre, fort rustre, incapable d'apprécier son mérite, mais désirait partager une très petite fortune qu'elle devait hériter de son père. La personne qui traitait le mariage fit valoir la naissance de monsieur de Blagnac; il était de la maison de Durfort. Mademoiselle Monbadon se fit apporter les papiers et, satisfaite de cette inspection, épousa monsieur de Blagnac.

Il approuvait de même les choix masculins, et particulièrement celui de M. de La Charce ou de M. de Durfort. «Je n'ai connu le premier qu'enfant. Son père vous est attaché depuis vingt-cinq ans; sa mère s'est toujours parfaitement conduite auprès de Mme la duchesse d'Orléans. Le second s'est fort distingué dans cette guerre et s'est acquis un excellent renom

Angélique de Bournonville, fille du prince de Bournonville, comte d'Hénin, épousa en 1706 Jean-Baptiste de Durfort, duc de Duras, maréchal de France. Elle fut dame d'honneur de Mesdames, filles de Louis XV, et mourut en 1764. Marie Brûlart de la Borde, fille d'un premier président au parlement de Dijon, épousa en deuxièmes noces, en 1732, Philippe d'Albert, duc de Luynes.

Reçu par l'Empereur, il s'acquitta de son double message. Le comte de Durfort, qui se trouvait

«Nous avons la certitude qu'on a mis sous les yeux du roi un Mémoire très violent contre le roi de Sardaigne et contre nous, et qu'il a été présenté au nom de M. de Durfort, commandant de Grenoble. Je ne puis le croire capable de cette infamie. Nous allons nous en éclairer positivement. Le Mémoire a été présenté par M. de Ladevèze, qui l'a signé de la part de M. de Durfort.

Dès le commencement de l'année 1769, les correspondances diplomatiques, les dépêches de l'ambassadeur de France parlent de l'archiduchesse Antoinette, de ses charmes, de l'agrément de sa danse aux bals de la cour, et de l'heureux succès des leçons du Français Noverre. Le peintre Ducreux est envoyé de France pour peindre l'archiduchesse, et commence son portrait le 18 février. Le Roi fait presser Ducreux, qui avance lentement. Il demande qu'on se hâte, et il témoigne une telle impatience, qu'aussitôt le portrait fini, l'ambassadeur de France, M. de Durfort, le lui envoie par son fils. Un divertissement donné par l'Impératrice,

Le poste le plus exposé eût été celui que leur courage et leur amour pour le Roi leur eussent fait ambitionner. «Alexandre D'AUMONT, «Ci-devant duc DE VILLEQUIER. «Amédée DURFORT, «Ci-devant marquis DE DURAS.

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