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Mis à jour: 28 mai 2025
De plus, il avait commandé au baron de s'asseoir, et lui remettant un journal, il lui avait dit: Lisez, monsieur,
Lisez: «J'ai failli avoir un chagrin aujourd'hui. Comme j'entrais dans ma chambre, je vis mon petit linot sous la griffe de la chatte. Je l'ai sauvé en effrayant la chatte qui a lâché prise. L'oiseau n'a eu que peur, puis il s'est trouvé si content qu'il s'est mis
Mais lisez donc! fit grand'mère en se retournant brusquement, la joue rougie par la flamme; lisez donc, sinon elle va être furieuse en rentrant.
»Soldats! il n'y a plus que deux bannières en Europe; sur l'une vous lisez: religion, morale, justice, modération, lois, paix et bonheur; sur l'autre: persécutions, artifices, violences, tyrannie, guerre et deuil dans toutes les familles: choisissez.»
Dans le Paris du 13 décembre, M. Charles Laurent donne cet excellent conseil: «Avez vous lu Sous-Offs? Non. Eh bien, ne le lisez pas!»
«Je le fais asseoir; je prends la lettre; mais, au moment de l'ouvrir, je m'aperçus que la suscription portait: À M. le commandant Mésonan. Je lui dis: «Mais, mon cher commandant, c'est pour vous, ce n'est pas pour moi. Lisez, mon général!
Lisez, sir William, dit le roi; nous écoutons. Et, en effet, pour justifier le pluriel employé par lui, le roi fit signe
Il ne semblait ni découragé ni préoccupé. Peut-être est-ce contenance diplomatique. Je ne serais pas surpris, d'ailleurs, qu'il eût reçu de bon lieu quelques paroles rassurantes. Lisez l'article du Constitutionnel d'hier samedi. Il me paraît d'une plume assez bonne et différente de la plume ordinaire.
Savez-vous, vous autres, avec quoi un jeune homme était riche, il y a vingt ans, soupire un dîneur, lisez Paul de Kock, vous y trouverez: Charles était riche, il avait 6 000 livres de rente, mangeait tous les soirs un perdreau truffé, entretenait un rat de l'Opéra, et c'était vrai!
Oui. mon cher ami, dit enfin l'abbé Faguy. vous pouvez parler librement et vous réjouir, car votre frère, avant de rendre le dernier soupir, a proclamé votre innocence et il est mort comme un saint! Lisez ce document écrit par le Dr Chapais et signé par Victor. Jean-Charles, après avoir lu le document, leva les yeux vers le ciel et s'écria: «Merci, mon Dieu! mille fois merci!»
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