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Jean-Charles était sorti triomphant de cette rude épreuve. Un soir du mois de mai 1838, l'abbé Faguy entra, sans se faire annoncer, dans la chambre de Jean-Charles, qu'il surprit

Jean-Charles était dans cette voiture. Il est agréablement surpris de rencontrer ceux qui lui sont chers et qui l'acclament avec enthousiasme. Il se jette dans les bras de son père, de son frère, du curé Faguy, et distribue

L'abbé Faguy fit généreusement le sacrifice qu'on lui demandait et accepta volontiers de recevoir l'aide d'un vicaire. Sa santé s'altérait de jour en jour, et il se sentait incapable de pourvoir seul aux besoins spirituels de ses paroissiens.

D'abord, je dois te dire que mon bon maître, M. le curé Faguy, a manqué de laisser sa vie dans la gueule d'une ourse... Ah! et c'est pour cela que vous êtes si joyeux! Mais non, gros bêta! si tu m'avais donné le temps de finir, tu aurais compris la raison de ma joie. Excusez-moi de vous avoir coupé la parole, père François. Parlez, bourgeois, votre serviteur vous écoute!

Avant de partir pour Québec, l'abbé Faguy avait convoqué tous les notables de sa paroisse pour leur apprendre l'heureuse nouvelle du retour prochain de Jean-Charles Lormier et les inviter

Tout est bien qui finit bien! ajouta le curé Faguy; il n'y a pas eu d'indiscrétion de commise, car c'est le doigt de Dieu que je vois dans toute cette affaire, dont le dénouement remplit nos coeurs d'une vive allégresse. M. Lormier, dit le Père Durocher, veuillez me faire le plaisir de venir demeurer au presbytère jusqu'au jour de votre départ pour Sainte-R..

Oui. mon cher ami, dit enfin l'abbé Faguy. vous pouvez parler librement et vous réjouir, car votre frère, avant de rendre le dernier soupir, a proclamé votre innocence et il est mort comme un saint! Lisez ce document écrit par le Dr Chapais et signé par Victor. Jean-Charles, après avoir lu le document, leva les yeux vers le ciel et s'écria: «Merci, mon Dieu! mille fois merci

Il est ici et en parfaite santéLe surlendemain au soir un samedi l'abbé Faguy arrivait au presbytère de Saint-Sauveur.

N'importe! chaque chose viendra en son temps; et l'essentiel, pour le présent, c'est d'amadouer l'abbé Faguy. Je m'occuperai du fantôme une autre fois! Il s'assit confortablement dans son lit, plaça un carton sur ses genoux, prit une plume et écrivit ce qui suit: Vénérable et cher monsieur,

Tenez, mon ami, dit l'abbé Faguy, voici ce que vous devez faire D'abord, vous êtes trop bon chrétien pour ignorer que rien ne peut arriver sans la permission de Dieu. Eh bien! allez dire franchement