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Mis à jour: 22 juin 2025


Les Lettres persanes eurent d'abord un débit si prodigieux, que les libraires mirent tout en usage pour en avoir des suites. Ils alloient tirer par la manche tous ceux qu'ils rencontroient: «Monsieur, disoient-ils, faites-moi des Lettres persanes

Cependant le malheureux écrivait pour les journaux, compilait et traduisait pour les libraires, faisait de brillants articles et des contes pour les revues. Les éditeurs les inséraient volontiers, mais ils payaient si mal le pauvre jeune homme qu'il tomba dans une misère affreuse. Il descendit même si bas, qu'il put entendre crier les gonds des portes de la mort. Un jour, un journal de Baltimore proposa deux prix pour le meilleur poëme et le meilleur conte en prose. Un comité de littérateurs, dont faisait partie M. John Kennedy, fut chargé de juger les productions. Toutefois, ils ne s'occupaient guère de les lire; la sanction de leurs noms était tout ce que leur demandait l'éditeur. Tout en causant de choses et d'autres, l'un d'eux fut attiré par un manuscrit qui se distinguait par la beauté, la propreté et la netteté de ses caractères. À la fin de sa vie, Edgar Poe possédait encore une écriture incomparablement belle. (Je trouve cette remarque bien américaine.) M. Kennedy lut une page seul, et ayant été frappé par le style, il lut la composition

Par ses conversations avec les libraires, il apprenait souvent leurs noms, ou bien il leur donnait lui-même une appellation en rapport avec leur figure. D'autres fois, au contraire, leur situation lui offrait le loisir de les fréquenter, comme cette grande jeune fille, par exemple, dont les parents tenaient

La rue Saint-André, aujourd'hui habitée par des étudiants, des libraires, des aubergistes, était autrefois une rue du grand monde et de la noblesse. On y trouvait les hôtels du cardinal Bertrand, près de la rue de l'Hirondelle; des comtes d'Eu et du chancelier Poyet, près de la rue Pavée; d'Orléans, appartenant au frère de Charles VI, et allant de la rue de l'

Paris, 1646, in-4º. Paris, 1651, in-folio. Une chose m'a encore surpris de cet homme, c'est qu'il n'avoit jamais lu les Mémoires de Charles IX . En voici une preuve convaincante. Quelqu'un lui ayant parlé de la Servitude volontaire d'Etienne de La Boëtie, c'est un des Traités de ces Mémoires, et un Traité, pour dire ce que j'en pense, qui n'est qu'une amplification de collége, et qui a eu bien plus de réputation qu'il n'en mérite; il eut envie de voir cette pièce: il envoie un de ses gentilshommes par toute la rue Saint-Jacques demander la Servitude volontaire. Les libraires disoient tous: «Nous ne savons ce que c'estIls ne se ressouvenoient point que cela étoit dans les Mémoires de Charles IX. Enfin le fils de Blaise, un libraire assez célèbre, s'en ressouvint et le dit

Moyens de refréner les livres. Brevets délivrés par le gouvernement aux imprimeurs, éditeurs et libraires. Retraits facultatifs de ces brevets. Responsabilité pénale des imprimeurs. Elle oblige ces derniers

Je l'espère, car c'est une des meilleures choses de l'ouvrage, et supérieure au Colosseum. J'ai fait, cinquante-six stances du quatrième chant de Childe Harold; ainsi préparez vos ducatsLa Mira, près Venise, 10 juillet 1817. «Murray, le Mokanna des libraires, a trouvé moyen de m'envoyer par la poste quelques extraits de Lalla Rookh.

Il vit ainsi deux ans encore, rêvant, herborisant, copiant de la musique, consolé un peu par quelques adorateurs patients. Mais ses maux physiques redoublent. Thérèse aussi tombe malade. Rousseau n'est pas assez riche pour payer une servante. Ses douze cents ou quatorze cents francs de rente viagère (car il varie sur le chiffre) et ce que lui rapportent ses copies, lui permettrait de se mettre en pension, avec Thérèse, dans quelque établissement décent. Mais ce serait trop simple. Un peu auparavant, par un geste ordinaire aux monomanes de son espèce, il avait écrit et fait distribuer deux circulaires «au peuple français», l'une pour protester contre la falsification de ses livres par les libraires, l'autre pour proclamer son innocence et la scélératesse de ses ennemis. Il en rédige une troisième, il expose sa détresse depuis la maladie de Thérèse et demande, pour lui et pour elle, le vivre et le couvert

La première fois que je suis venu en Croatie, son nom m'était inconnu. Je trouvais son portrait partout, aux vitrines des libraires d'Agram et de Carlstadt, dans toutes les auberges, dans la demeure des paysans, et jusque dans les petits villages des confins militaires. Quand on me raconta tout ce qu'il faisait pour favoriser le développement de l'instruction, de la littérature et des arts, parmi les Jougo-Slaves, j'en fus émerveillé. Inconnu, sans lettre d'introduction, je n'osai aller le voir; mais, depuis lors, l'un de mes voeux les plus ardents était de le rencontrer. J'eus cette bonne fortune, non en Croatie, mais

Ce journal, il le vendit aux libraires associés, qui lui firent d'assez belles conditions, il est vrai, mais qui finirent par le tricher tout diable qu'il est.

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