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Mis à jour: 7 juillet 2025
Durant ces années et toutes celles qui suivent, M. Eynard, très-différent en cela du vulgaire des biographes, n'a nullement flatté son héroïne; il ne craint pas de nous la montrer dans la contradiction et le désordre des sentiments qui l'agitent et qui, plus d'une fois, l'égarent. Il est si sûr de nous la présenter ensuite parfaitement convertie, qu'il s'inquiète peu de nous la voiler avec grâce comme pécheresse. L'avouerai-je? en le lisant, j'ai senti la Mme de Krüdner que j'aimais perdre quelque chose de son attrait et de son mystère. M. Eynard a sans doute ajouté
Enfin l'avouerai-je? Tandis que je gravissais les pentes de Galata pour aller prendre mes lettres
L'avouerai-je? ma préoccupation, ma seule et grande préoccupation, pendant la soirée, a été le fameux escalier. Et je suis sorti avec la conviction que cet escalier est le personnage important du drame. Remarquez quel en est le succès. Au premier acte, quand Chatterton apparaît en haut de l'escalier et qu'il le descend, son entrée fait beaucoup plus d'effet que s'il poussait simplement une porte sur la scène. Au second acte, quand les enfants de Ketty Bell montent des fruits au pauvre poète, c'est une joie dans la salle de voir les petites jambes des deux adorables gamins se hisser sur chaque marche; encore l'escalier. Enfin, au quatrième acte, le rôle de l'escalier devient tout
J'ai retardé de vous écrire, vous l'avouerai-je? dans le dessein de vous punir; mais je me suis assurément punie de ce sentiment de vengeance, en me privant de mon unique plaisir qui est de m'entretenir avec vous. D'Argental vous assure de ses respects. La mort de la Le Couvreur l'a beaucoup occupé. Je vais vous conter toute cette histoire un peu au long. Madame de Bouillon est capricieuse, violente, emportée, excessivement galante: ses goûts s'étendent depuis le prince jusqu'au comédien. Dans le mois dernier, elle se prit de fantaisie pour le comte de Saxe, qui n'en eut aucune pour elle. Ce n'est point qu'il se piquât de fidélité pour la Le Couvreur, qui est depuis long-temps sa véritable inclination; car il avoit, avec cette passion, mille goûts passagers; mais il n'étoit ni flatté, ni curieux de répondre aux emportemens de madame de Bouillon qui fut outrée de voir ses charmes méprisés, et qui ne mit pas en doute que la Le Couvreur ne fût l'obstacle qui s'opposoit
Enfin, vous l'avouerai-je, je ne me sens plus la force de vous exprimer les souffrances innombrables que j'ai éprouvées pendant les deux jours et deux nuits qui précédèrent sa mort. Bercé de temps en temps entre le découragement ou l'espérance, dès qu'une lueur d'amélioration se faisait entrevoir je redoublais, s'il était possible, mes soins et ma sollicitude. La mère et moi nous étions constamment
Dans un conseil privé, Napoléon nous avait annoncé qu'il prétendait disposer souverainement de ses conquêtes pour créer des grands de l'Empire et une nouvelle noblesse. L'avouerai-je? lorsque, dans un conseil plus nombreux, il proposa la question de savoir si l'établissement des titres héréditaires était contraire aux principes de l'égalité que nous professions presque tous, nous répondîmes négativement. En effet, l'Empire étant une nouvelle monarchie, la création de grands officiers, de grands dignitaires, et le renfort d'une nouvelle noblesse nous parurent indispensables. Il s'agissait, d'ailleurs, de réconcilier la France ancienne avec la France nouvelle, et de faire disparaître les restes de la féodalité, en rattachant les idées de noblesse aux services rendus
Ce premier exemple d'une abdication napoléonienne me frappa et me fit réfléchir. L'avouerai-je? Il me donna l'idée de la possibilité de sauver un jour l'Empire au moyen d'une abdication imposée
L'avouerai-je? Nous sommes restés un peu désappointés, devant le sympathique mais peu majestueux descendant des grands monarques d'Angkor. Le résident, notre très aimable hôte, auquel nous communiquons nos impressions, nous conseille de nous arrêter en passant
Oh! oui, je dis vrai... le bonheur rend si confiant, si sincère... Une fois dans cette bonne voie que la pensée m'avait offerte, Mathilde, je n'ai pas craint de rechercher la cause première de cette sotte mauvaise humeur où j'étais retombé depuis quelques jours... Encore une petite cause, vous l'avouerai-je? oui, j'aurai ce courage. J'ai été assez sot pour ressentir un profond dépit des railleries de votre cousine! Oui, comme un écolier, comme un provincial, je lui avais gardé rancune de s'être moquée de mes déclarations; j'avais vu l
C'est que la position où je suis n'a vraiment pas le sens commun. J'aurais besoin, vous l'avouerai-je? non pas tout
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