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Mis à jour: 9 mai 2025
Tous les soirs il y avait grande réunion ou chez madame Récamier, ou chez madame de Staël, ou chez madame Krüdner, puis des bals où jamais femme du monde n'avait mis les pieds et qui étaient encombrés de femmes du monde.
[Note 209: La Revue des Deux Mondes, livraison du 1er juillet 1837; et dans les Portraits de Femmes. Cette nouvelle et dernière Mme de Krüdner dément et déjoue l'autre sur quelques points; je le regrette, mais, en ce qui me semble vrai, je n'ai jamais été
En quittant Paris, Mme de Krüdner se rendit en Suisse; elle écrivit de Berne
Mme de Krüdner avait été fort jolie. Elle n'était plus jeune, mais elle conservait de l'élégance; la bonne grâce de sa personne la sauvait du ridicule que son rôle d'inspirée eût facilement pu lui donner. Sa bonté était réelle, sa charité et son désintéressement sans bornes.
Le tout se termine par une méprise assez naïve chez un futur académicien. Il prétend en un endroit que Mme d'Arbouville exerça sur le talent de Sainte-Beuve une influence élevée, morale, chrétienne, dont la trace se retrouve dans les portraits de Mlle Aissé, de Mme de Krüdner. Or, ouvrez le volume
Benjamin Constant vint chez Mme Récamier en sortant de la réunion, et ce fut lui qui raconta très-gaîment son aventure. Un des défauts de ce rare esprit était de se moquer de tout et de lui-même. Mme Récamier alla souvent chez Mme de Krüdner, et quelquefois son arrivée y donna des distractions
L'action de Mme de Krüdner était conciliante et secourable. Elle prit en grande compassion Benjamin Constant qu'elle avait connu en Suisse et qu'elle retrouvait
Au milieu de cette vie d'excitation et d'élourdissement, se voyant atteinte de crises nerveuses et menacée d'une maladie de poitrine, Mme de Krüdner part pour Paris au mois de mai 1789; elle n'y était venue que tout enfant,
C'est ce travail, fruit de plusieurs années d'une recherche suivie et d'un culte patient, qui paraît aujourd'hui et qui justifie amplement notre promesse. La mémoire de Mme de Krüdner est désormais assurée contre l'oubli, et, ce qui vaut mieux, contre le dénigrement facile qui naissait d'une demi-connaissance. On la suit dès le berceau, on assiste
Valérie parut en décembre 1803. «Toutes les batteries de Mme de Krüdner, dit M. Eynard, étaient montées pour saluer son apparition. Aucune ne manqua son effet. Amis dévoués, journalistes, littérateurs indépendants, adversaires, envieux, chacun
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